18e siècle

Voltaire

Alain Cedelle <alain.cedelle@iname.com.BZH> a écrit dans le message : 93n64v$rmt$1@news.irisa.fr

Voici une interéssante citation de Voltaire, faite pas plus tard  que cette semaine par le maire de Rennes, Edmond Hervé (un brin  provocateur… 🙂 lors des voeux à l’enseignement public: 
« Je vous remercie de proscrire l’étude chez les laboureurs, moi qui cultive la terre, je veux avoir des manoeuvres et  non des clercs tonsurés »

Voila n’est-il pas, un grand humaniste, soucieux de progrès social, pourvu que chacun reste à sa place, les ploucs bretons comme les autres !

Avec un tel exemple, le « Voltaire Fan’s Round Club » nous prépare  à l’évidence un beau millénaire.

a.c.

J.-M. Klinkenberg, Pour une politique de la langue française, pp. 54-71, La Revue Nouvelle, 9, 1996

 

(p.61) “Autrefois, dans le cadre autoritaire, les objectifs de la politique linguistique pouvaient s’énoncer avec une belle franchise: l’Académie française, par exemple, devait clairement renforcer le pouvoir royal.”

 

in : Jean-Christophe Victor, Virginie Raisson, Frank Tétart, Le dessous des cartes, Atlas géopolitique, éd. Tallandier/Arte 2006, p.166

 

Le mot terrorisme est dérivé du mot « terreur », qui vient du latin « terrere », ‘faire trembler’. La TERREUR désigne une période de la Révolution française (septembre 1793 à juillet 1794), pendant laquelle la Convention tente de briser toute résistance aux idées révolutionnaires. C’est donc ce régime, théorisé par Robespierre et consistant à gouverner par la menace, qui, par extension, donnera son nom au terrorisme.

 

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