La Belgique régionalisée: une catastrophe économique: généralités

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Adrien de Marneffe, La Région a gaspillé 700.000€ pour une vitrine de promotion de la Wallonie à… Cuba, in: Sud Info 14/03/2014

 

L’argent a été investi en 2006 à La Havane dans la rénovation d’un bâtiment. En échange, la Wallonie a obtenu une vitrine promotionnelle, une sorte de musée de la Wallonie pour encourager le tourisme dans nos régions. Les Cubains ne se bousculent évidemment pas au portillon pour visiter nos contrées… Pire, cet argent a été investi sans contrepartie financière !

 

D.R.

 

« La vitrine de la Wallonie » aura coûté 700.000 à la Wallonie.

8 ans après son inauguration en grande pompe par le ministre-président wallon de l’époque, Jean-Claude Van Cauwenberghe, accompagné de Michel Daerden, la « Vitrine de la Wallonie » trône toujours fièrement au milieu de l’historique Plaz Avieja, à La Havane. Il s’agit d’une vitrine promotionnelle, touristique. Elle comprend une présentation générale de la Wallonie, un espace « Patrimoine », « Savoir-faire et Technologies » mais aussi « Tourisme – Sport – Folklore et Gastronomie ». Une sorte de musée de la Wallonie. Une vitrine destinée à encourager le tourisme dans notre région mais… plantée dans un pays dont les habitants ne peuvent voyager vers l’Europe qu’à des conditions très restrictives. Et dont les moyens financiers pour le faire sont extrêmement limités. Un choix particulier. Et un gouffre financier. Car cette « Casa de Valonia », comme on la nomme à La Havane, aurait coûté en 2006, la bagatelle de 700.000 euros. Pour un retour sur investissement nul.

 

Willy Borsus, chef de groupe MR au Parlement wallon s’en est récemment ému, interpellant le ministre-président Rudy Demotte à ce sujet. «  Je m’interroge réellement sur l’intérêt pour la Wallonie d’avoir investi autant d’argent à Cuba  », explique Willy Borsus, «  Je comprends qu’on promeuve la Wallonie et son tourisme, à l’étranger. Mais je doute vraiment que notre région accueille beaucoup de touristes cubains chaque année… Concrètement, quel bénéfice pour la Wallonie ? Je ne comprends pas cette stratégie… »

 

Mais comment cette « vitrine de la Wallonie » a-t-elle pu échouer dans un lieu aussi exotique que la capitale cubaine ? Il faut pour cela remonter à la précédente législature. En 2006, un accord de coopération entre Wallonie et Cuba est signé à l’occasion de la visite officielle à Cuba du Ministre-Président Van Cauwenberghe, accompagné de Michel Daerden. Il inclut la rénovation d’un ancien Palais situé dans le centre historique de La Havane, classé par l’UNESCO. La Wallonie met alors la main au portefeuille et finance la rénovation pour un montant total de 600.000 euros. En échange, Cuba met un espace à la disposition de la Région wallonne, situé au rez-de-chaussée du bâtiment. C’est là que sera établie la « Vitrine de la Wallonie ». 41 000 € seront encore investis pour le mobilier et 61 900 € pour le matériel électronique, audiovisuel et informatique. Soit un coût total de 702.900 €. Et depuis lors ? Pas grand-chose… La « Casa de Valonia » est aujourd’hui gérée par des Cubains et les recettes leur reviennent. Les 702.000 euros dépensés par la Wallonie semblent donc n’avoir eu d’autres objectifs qu’un parrainage désintéressé. Du mécénat, en somme.

Financièrement autonome

Inutile pour autant de jeter le bébé avec l’eau du bain. Aujourd’hui, elle est financièrement autonome. «  C’est un outil de visibilité sans frais, qui permet d’atteindre tant la population cubaine qu’un public international important. », précise Marine Duvinage, membre du cabinet du ministre-président Rudy Demotte.

«  Aucun fonctionnaire wallon ne travaille sur place, et la Wallonie ne finance plus rien. Je ne vois donc pas pourquoi la Wallonie voudrait faire cesser son activité  », confirme Isabelle Mestdagh, attachée à l’Amérique latine pour la WBI (Wallonie-Bruxelles internation). «  D’autant que c’est une vitrine très prestigieuse pour la Wallonie. » Et ce, même si l’écrasante majorité des Cubains ne dispose pas des moyens de faire le voyage en Wallonie ? «  Il y aussi les touristes étrangers qui se rendent à Cuba  », conclut Isabelle Mestdagh.

«  Il s’agit également du seul endroit de Cuba où l’on peut trouver des BD  », précise Jean-Serge Dias de Sousa, secrétaire commercial de l’AWEx (agence wallonne à l’exportation) en poste à La Havane. «  Je participe parfois aux visites de la Casa de Valonia avec la délégation officielle. Des écoliers cubains viennent le visiter chaque jour. C’est extrêmement vivant. » Au moins, l’initiative aura-t-elle profité aux Cubains. Pour la Wallonie, le bénéfice est nettement moins évident. À moins que la Région wallonne se spécialise dans l’humanitaire… Qu’en pensent les contribuables wallons ?

 

Dette wallonne: la Banque nationale donne tort à André Antoine, in: L’ Echo, 16/01/2014

 

La dette wallonne est-elle de 6 milliards comme le dit le gouvernement ou de 11 comme l’affirme la Cour des comptes? L’Institut des comptes nationaux et la Banque nationale penchent pour la seconde option, 11 milliards donc. Ils ont déjà intégré des paramètres de calcul proches de ceux de la Cour dans la récente analyse qui a conclu que la dette belge descendait à 99,7% du PIB. Les divergences de calcul proviennent de l’interprétation comptable de la dette d’organismes créés au fil des ans pour débudgétiser des investissements régionaux. Eurostat et l’ICN veulent désormais les inclure dans le périmètre de consolidation afin de montrer une image claire de la réalité de la dette wallonne.

 

Selon André Antoine, la crédibilité de la dette wallonne est saluée par les marchés. Les taux sont historiquement bas et ont encore baissé de 63 points de base l’an dernier.

Petit vent de panique au gouvernement fédéral: la révision à la hausse du niveau de la dette wallonne (11,2 milliards au lieu de 6,2) va-t-elle réduire à néant les efforts pour ramener la dette belge sous les 100% du PIB et replacer ainsi le pays dans le viseur des instances européennes? Aujourd’hui, nous sommes à 99,7%, juste en dessous de la ligne de flottaison. Mais s’il faut y ajouter cinq milliards venus de Wallonie, on repasse du mauvais côté…

 

Express

 

Aucun euro additionnel ne sera demandé aux citoyens, comme le disait le ministre du Budget André Antoine (cdH). Mais la nouveauté, c’est qu’il ne faudra plus autant fouiller les budgets pour connaître le volume des engagements financiers pris par les autorités régionales.

« Ces éléments ont déjà été intégrés dans nos calculs », nous a-t-on assuré à l’Institut des comptes nationaux. Cela fut vérifié lors d’une réunion d’urgence avec les Finances et la Banque nationale, dès la divulgation de l’analyse de la Cour des comptes.

Il est logique que les différentes analyses se rejoignent, car elles se basent sur l’évolution de la jurisprudence européenne, évolution qui vise à présenter une image plus fidèle de l’état des finances publiques. En l’occurrence, cela signifie réintégrer dans le périmètre de consolidation une série d’outils financiers et d’organismes créés pour débudgétiser des investissements publics. La Sofico (financement des autoroutes) et la SRIW (bras financier de la Wallonie) ont été intégrés dans le périmètre par l’ICN. La Cour des comptes y ajoute le Crac (centre d’aide aux communes) et la Sowafinal (zonings) pour 2,7 milliards.

Ce repérimétrage de l’institution wallonne paraît d’autant plus logique que la Région a centralisé la trésorerie de ces organismes, afin d’améliorer sa propre position. Au 31 décembre 2012, cela lui apportait un surplus de trésorerie de 884 millions, selon la Cour des comptes, qui recommande d’ailleurs d’accentuer le mouvement. Si on intègre les surplus de trésorerie, il n’est pas incohérent d’intégrer aussi les emprunts…

 

La maladresse d’Antoine

 

Le tableau comptable est aujourd’hui plus fidèle à la réalité et intègre ce que l’opposition libérale a souvent qualifié de « dette cachée de la Wallonie ». D’un point de vue strictement budgétaire, cela ne change rien: directement ou indirectement, les contribuables wallons payaient déjà les charges liées aux emprunts de la Sofico ou du Crac.

Le ministre du Budget André Antoine (cdH) a raison quand il assure « qu’aucun euro additionnel ne sera demandé aux citoyens ». La nouveauté, c’est qu’il ne faudra plus autant fouiller les budgets pour connaître le volume des engagements financiers pris par les autorités régionales.

On ne peut même pas accuser Antoine d’avoir particulièrement cherché à travestir la réalité: il n’a fait que poursuivre la politique de ses prédécesseurs. Ce sont les instances de contrôle qui ont modifié leurs analyses. Le ministre centriste pouvait donc très bien se défendre sans tenter de semer le doute sur l’indépendance de la Cour des comptes. Cela n’a fait que renforcer le sentiment qu’il aurait, effectivement, quelque chose à cacher.

 

Périmètre à élargir

 

Ce débat sur la qualification comptable des emprunts régionaux n’est pas clos. En septembre, la Banque nationale a placé les invests dans le périmètre. Demain, la question se posera pour les sociétés de logement ou certaines filiales de la SRIW.

L’intégration de la Sowafinal pourrait, elle, poser de vraies difficultés. Ses projets d’investissement dans les zonings connaissent un important retard. Si elle veut le rattraper, ce ne sera plus « hors budget ». « Toute accélération des investissements réalisés par les intercommunales (qui gèrent les zonings et pourraient, elles aussi, être un jour périmétrées…) impactera inévitablement le solde de financement régional, a convenu le ministre de l’Économie, Jean-Claude Marcourt (PS), en réponse à une question écrite du député Willy Borsus (MR). Il revient dès lors au gouvernement à assumer ces dépenses supplémentaires quitte à arbitrer avec d’autres mesures qui seraient jugées moins prioritaires. »

 

Charles Desmet,  FB 02/01/2018

 

Grand battage médiatique, ce premier jour de 2018, autour d’une « Kolossale » mesure fiscale de la « Région » Wallonne: les kleptocrates renoncent, dans leur grande générosité, au vol de 12,5% sur toute vente d’immeuble. Cette escroquerie est pudiquement voilée sous le doux nom de « droits d’enregistrement ». Sur une cession de 300.000€, par exemple, les fonctionnaires estiment en effet avoir le droit de s’emparer de 37.500€, et ce pour écrire deux lignes dans un registre.Mais les voleurs ne sont pas si généreux qu’ils veulent le faire croire: ils ne renoncent à cette taxe que … sur les premiers 20.000€ de la vente!Beaucoup moins médiatisée (par les porte-mensonges étatiques) a été la réduction, à la même date, par la « Région » flamande, de ces « droits » (en réalité une taxe). Réduction à 7%, qui s’appliquera, elle, à la totalité de la transaction…La frontière « linguistique » entre deux dialectes (bas-allemand d’un côté, latin de cuisine de l’autre) devient de plus en plus un « Mur de Grimbergen » entre des démangeaisons régionalistes à velléités libérales, et les derniers soubresauts d’un stalinisme corrompu et prédateur.²A noter que les flamands ont encore du chemin à faire: les « droits d’enregistrement » du côté hollandais sont de … 2%!

 

Philippe Galloy, La régionalisation nuit au budget, in: Echo 13/11/2017

 

L’in­ven­taire des dé­penses fis­cales est en re­tard.

 

Le par­tage de com­pé­tences entre plu­sieurs ni­veaux de pou­voir prive l’exé­cu­tif d’un pré­cieux outil de pré­vi­si­bi­lité bud­gé­taire.

Ima­gi­nez-vous en train de pla­ni­fier vos va­cances de l’an­née pro­chaine, en ten­tant d’es­ti­mer au mieux le bud­get que vous de­vrez y consa­crer, tous frais com­pris. Vous pen­sez pou­voir vous re­por­ter aux dé­penses que vous avez ex­po­sées du­rant vos va­cances de cette année… mais voilà: le mon­tant de ces dé­penses ne sera dis­po­nible que dans deux ans! Vous voilà donc en train de confec­tion­ner votre bud­get « va­cances » de l’an pro­chain qua­si­ment à l’aveu­glette.

Cela vous semble ab­surde mais c’est exac­te­ment ce que doit faire le gou­ver­ne­ment fé­dé­ral quand il éla­bore son bud­get de l’an­née à venir. L’in­ven­taire des dé­penses fis­cales ex­po­sées en 2015 vient seule­ment d’être pu­blié, avec près d’un an de re­tard. Com­ment peut-on mo­di­fier la fis­ca­lité pour 2018 en igno­rant par­fai­te­ment les consé­quences bud­gé­taires pré­cises des dis­po­si­tions qui étaient en vi­gueur non pas en 2017 mais même en 2016?

Dans ces cir­cons­tances, on ne s’éton­nera pas de voir l’exé­cu­tif fé­dé­ral cou­rir d’un ajus­te­ment bud­gé­taire à l’autre pen­dant toute la durée de la lé­gis­la­ture, ce qui le condamne à gou­ver­ner à court terme en ten­tant de main­te­nir vaille que vaille un sem­blant de cap bud­gé­taire.

Il n’était déjà pas fa­cile de fi­ce­ler un bud­get en ne dis­po­sant que des don­nées fis­cales re­mon­tant à plus d’un an. Voilà qu’à pré­sent, le dé­ca­lage dé­passe deux an­nées. Pour­quoi ce re­tard? Il ap­pa­raît que c’est dû à la com­plexité crois­sante des dis­po­si­tions fis­cales, due aux ré­cents trans­ferts de com­pé­tences entre le Fé­dé­ral et les en­ti­tés fé­dé­rées dans le cadre de la ré­forme de l’État. L’ad­mi­nis­tra­tion fis­cale ne peut pas faire de mi­racle: pour chif­frer avec pré­ci­sion les coûts de me­sures dé­sor­mais par­ta­gées entre plu­sieurs ni­veaux de pou­voir, il faut plus de temps. Et voilà le gou­ver­ne­ment privé d’un pré­cieux outil de pré­vi­si­bi­lité bud­gé­taire par voie de consé­quence. Si on nous de­mande si la ré­gio­na­li­sa­tion per­met de mieux gérer l’État, nous ré­pon­drons sans am­bages qu’elle per­met sur­tout de ré­pondre à des as­pi­ra­tions pu­re­ment idéo­lo­giques mais en rien à un souci de bonne ges­tion.

 

RTB INFO

La Wallonie souffre d’un manque de croissance de ses entreprises

La tendance naturelle des entreprises wallonnes n’est pas de rechercher la croissance ou de vanter leur succès, nombre d’entre elles, y compris des leaders mondiaux dans leur domaine, restant très discrètes. D’autres n’ont simplement aucune ambition de croissance, préférant se consacrer au marché local avec des clients qu’elles connaissent. Or, la Belgique, et en particulier la Wallonie, ont besoin d’une croissance durable pour préserver le modèle social actuel et transformer l’économie, a souligné Marie-Laure Moreau, associée d’EY, à l’occasion de la présentation d’une étude consacrée à la croissance des entreprises wallonnes.

 

Si 9 entreprises sur 10 assurent vouloir augmenter significativement leur chiffre d’affaires à moyen terme, cette volonté ne se concrétise pas dans les faits en raison de différents « freins » alors que le financement, lui, est généralement disponible, a-t-elle expliqué.

Le manager wallon ne cherche pas absolument la croissance

Parmi ces entraves figurent, sans surprise, le coût du travail, la fiscalité excessive ou encore les obstacles administratifs. Mais il faut aussi noter que la volonté de croître « n’est pas une nécessité pour l’ensemble des entrepreneurs wallons », certains managers ou actionnaires choisissant délibérément de pas grandir ou du moins pas trop, échaudés par les risques et par l’éventualité d’ouvrir leur capital, a poursuivi Marie-Laure Moreau.

Enfin, des facteurs culturels – de la barrière de la langue au manque de valorisation de la réussite entrepreneuriale dans le sud du pays – expliquent également cette « timidité » des entreprises wallonnes.

Face à ces constats, « il faut valoriser l’esprit d’entreprendre et créer un terreau fertile à l’entrepreneuriat en Wallonie. Il est temps, aussi, de proposer aux entreprises wallonnes, dont le potentiel de croissance a été validé, un programme régional de stimulation et d’accompagnement à la croissance », a conclu la responsable d’EY.

 

« Meilleur équilibre entre politiques de création et politiques de croissance »

Du côté de l’Union wallonne des Entreprises (UWE), on ne dit pas autre chose. « Nos économies ont besoin de nouvelles entreprises mais nous croyons qu’il faudrait un meilleur équilibre entre politiques de création et politiques de croissance », a ainsi indiqué Olivier de Wasseige, l’administrateur délégué de l’UWE.

« Notre sentiment est que la Wallonie devrait se doter d’un programme de soutien aux entreprises à fort potentiel, à condition de mener une réflexion approfondie sur le processus de sélection des entreprises qui pourront en bénéficier et sur les supports qui leur seront proposés », a-t-il ajouté.

 

 

 

 

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