COMMERCE EXTÉRIEUR
La Belgique régionalisée, une catastrophe économique: le commerce extérieur
PLAN
1 Analyses
2 Documents
1 Analyses
1980 |
Pierre Loppe, DE L’EAU WALLONNE EN ARABIE?, LB 29/12/1980
A une page d’intervalle on découvre, dans le très sérieux journal «Vers l’Avenir», une large présentation de Lawrence d’Arabie puis l’annonce de fourniture (possible) d’eau potable et fraîche pour les princes d’Arabie, eau puisée à concurrence d’un million de litres quotidiens près de Manhay. Fata morgana ? Projet génial de gens qui n’ont pas de pétrole mais… ? L’avenir le dira. Toujours est-il que, si l’on en croit notre confrère, la commune a adopté une décision de principe pour l’octroi de 1.000 mètres cubes par jour vers la lointaine Arabie.
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1981 |
QUEBEC-WALLONIE, LB 23/09/1981
Une importante délégation, – pas moins de 23 personnes dont quinze représentent le secteur public… – présidée par notre ex-ministre de la Région wallonne, M. Jean-Maurice Dehousse, s’est rendue du 14 au 19 septembre à Québec à l’invitation du ministre d’Etat au Développement économique du Québec, M. Landry. Cette rencontre fait écho – assez creux d’ailleurs- à la visite officielle de M. Lévêque, premier invité extérieur de l’Exécutif régional, en décembre dernier. Bilan. de cette mission rehaussée à coups de prospectus tapageurs et coûteux situant la Wallonie et ses ambitieux projets? D’abord la création d’un «comité permanent Québec-Wallonie», nouvelle étiquette du groupe de travail créé en décembre. Hormis cette innovation «notoire», les deux parties avaient retenu neuf domaines pour leurs travaux : la métallurgie et les constructions métalliques et électriques , l’innovation technologique, les énergies nouvelles, les «industries» culturelles, le traitement des déchets, la politique de l’emploi (secteur de pointe en Wallonie). L’Exécutif wallon, peu enclin aux précisions, s’est «réjoui de la poursuite d’échanges en vue d’identifier des convergences d’intérêt…», s’engageant à. «un échange d’informations systématique…», M. Dehousse a beau dire que «la phase exploratoire de nos contacts est clôturée», il semble bien qu’il en soit toujours aux préliminaires… Il faut espérer que les conversations menées parallèlement par le secteur privé auront été plus concluantes. Interrogé en outre sur un dossier qui lui avait été confié à propos du scandale immobilier de la «Rock Entreprise» dont la faillite a entraîné une perte d’environ 1 milliard à quelque 1.200 acheteurs belges, le ministre a insisté sur le fait que cette affaire n’était pas à l’ordre du jour de la mission, et qu’il s’est limité à s’informer sur place.
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1982 |
MISSIONS REGIONALES…, LB 27/05/1982
(…) En jouant cavalier seul au-delà de nos frontières, les régions paraissent oublier que le commerce extérieur d’un Etat forme un tout, que les échanges d’une région avec un pays étranger ont des retombées nationales et qu’un petit pays comme le nôtre n’a aucun intérêt à se disperser… (…) A force de se diviser sur tous les plans, y compris la conquête des marchés extérieurs, la Belgique finira par ne plus être prise au sérieux par ses interlocuteurs. Doit-on rappeler les exemples malheureux d’investissements qui, promis à une région et convoités par celle d’en face, ont finalement été dirigés vers des cieux plus cléments ?
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1982 |
LES «MISSIONNAIRES» WALLONS…, LB 01/06/1982
Nos missionnaires régionaux (MM. Damseaux, Dehousse et Wathelet) ont prêché d’une même voix devant les fils du Soleil Levant, le «front commun» a été rompu, aussitôt foulé notre sol national. Tandis que Melchior Wathelet et Jean-« Napoléon » Dehousse regagnaient directement la « mère-patrie » après l’excursion nipponne, le ministre-président s’offrait un petit détour par, le Sri-Lanka.
Au Japon, les trois «mages wallons» avaient convenu de rencontrer ensemble la presse belge (en Belgique) pour dresser le bilan de la balade. A peine rentré dans ses foyers, Melchior, Wathelet s’épanchait cependant seul sur les antennes de la R.T.B.F., avec F comme favoritisme.
Fureur du camarade Jean-« Napoléon » (habitué à un autre traitement dans la Maison Wang) et coup de téléphone immédiat à Colombo où séjournait le président. M. Dehousse a donc reçu l’autorisation de raconter lui aussi sa promenade. C’est la rais pour laquelle les trois ministres ont donné, séparément, leur version du périple japonais aux journalistes.
ET DE SAGES FLAMANDS?
Ainsi donc, samedi à Jalhay (près de Verviers), M. Damseaux a voulu répondre,au scepticisme (..), qui avait généralement salue la mission wallonne en Extrêrne-Orient. Il a précisé qu’il ne s’agissait pas… d’une excursion touristique ! Selon le ministre-président, les frais engagés (71.340 F par Excellence , les épouses qui accompagnaient ont payé leur voyage) sont dérisoires en regard des contrats commerciaux déjà conclus par les industriels wallons et… bruxellois qui avaient fait le déplacement. M. Damseaux a également juré n’avoir jamais dénigré la Flandre auprès de ses interlocuteurs japonais.
«Mes collègues flamands ont-ils été aussi sages au Québec?» n’a pas manqué d’ajouter n a pas le président de l’Exécutif régional wallon.
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1985 |
Le film de Tsukuba était bien belge, C.D.F., LB 10/05/1985
“Soit 7 minutes pour la Flandre, 7 pour la Wallonie et 4 pour Bruxelles.”
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1986 |
L.P., La région wallonne et le Québec, partenaires privilégiés, AL 31/04/1986
« Melchior Wathelet et Pierre Mac Donald ont signé un accord de coopération économique entre les deux régions. »
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1986 |
Wallons en Chine, LB 19/11/1986
“M. Wathelet, ministre-président de la région wallonne, vient de conduire une mission industrielle en chine. Il a rencontré à cette occasion les étudiants belges de Pékin … et ses collègues nationaux, De Croo et Bril.”
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1989 |
Walondidju!, LB 12/04/1989
Non, ce titre n’est pas un nouveau juron issu de notre ruralité profonde, mais bien le nom très officiel de la Région wallonne en chinois. Notre confrère «L’Echo de! la Bourse». a relevé cette particularité, mardi, en rendant compte des résultats de la mission économique qui vient de eachever à Zheng-zhou et Pékin. Faut-il rappeler que là province du Henan a signé, l’an dernier, un accord de jumelage en bonne et due forme avec la «Walondidju» ? Voilà qui ne va pas faire plaisir à Francois Perin, grand pourfendeur du militantisme dialectal et des «Wallons wallonisants». Car si la connaissance des parlers de nos terroirs est une si bonne clé pour apprendre le chinois sans peine, pourquoi s’en priver ?
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1989 |
Albert Liénard en Géorgie, LB 05/10/1989
/= le ministre (notamment) des Rel. extér. au sein du “gouvern. wallon”/ Il s’est rendu il y a peu en Géorgie aux frais des contribuables wallons. En effet, “les 3 contrats signés par des entreprises belges lors de ce voyage l’ont été en l’absence du moindre représentant de la délégation wallonne belge.”
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1990 |
La gloire au Japon, LB 6/11/1990 Les hommes politiques aiment se regarder dans un journal. Leur satisfaction est totale quand ils y découvrent leur photo. On peut, dès lors, imaginer le plaisir de Bernard Anselme qui, la semaine dernière, dirigeait une mission économique de la Région wallonne au Japon. Samedi, au moment de quitter le pays du Soleil-Levant, le ministre-président a appris que le « Nihon Keizai-Shimbum », quotidien de Tokyo (qui tire à 2 millions d’exemplaires) lui consacrait un article élogieux en page 9.
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1991 |
Daniel Piron, La Wallonie signe la coopération avec le Slovénie, AL 20/01/1991
“Quant aux modalités de coopération, elle s prendront diverses formes: accords mutuels, échange d’informations, de personnels;, de technologies, et de services.” Création d’une commission mixte. “Ses missions consisteront en l’identification de projets conjoints, le partage d’expérience, le contrôle de l’avancement des actions de leur suivi.”
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1992 |
J.E., /Séville:/ Le coq se rebiffe …, Séville: précisions francophones et wallonnes, LB 14/03/1992
“Quant à la présence des entreprises wallonnes, le commissariat /général aux relations internationales de la Communauté française, /Roger Dehaybe/, estime qu’une exposition universelle n’est pas l’endroit idéal pour faire des affaires.” / mais bien à un machin de la francophonie, peut-être/
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1993 |
N. Gh. et O.M., Attachés commerciaux: Bruxelles appelle à l’aide, LB 27/10/1993
« Les négociations touchant à leur régionalisation risquent de tourner « au vinaigre ». » (Selon Rufin Gijp, Ministre bruxellois de l’économie) « Il y aura désormais quatre attachés à Londres, trois à Rome et à Madrid, pour ne citer que des exemples. » « Tout cela sans compter le coût que représente cette démultiplication de représentants pou notre petit pays. On estime en effet à cinq millions de francs la dépense annuelle pour un attaché commercial. »
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1993 |
N.Gh. et O.M., Attachés commerciaux: Bruxelles appelle à l’aide, LB 27/10/1993
“Les négociations touchant à leur régionalisation risquent de tourner “au vinaigre” …. “La régionalisation des 114 attachés commerciaux qui représentent (encore) ma Belgique à l’étranger, fait l’objet d’une négociation entre les trois Régions.”
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1993 |
Olivier Mouton, Les troubles du commerce, LB 27/10/1993
Bruxelles voulait des attachés communs. Refus flamand et wallon.
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1994 |
Y. Laudy, En Belgique, les Américains ne savent sur quel pied danser, LB, 10/08/1994
« Autrefois, l’attaché commercial (aux USA) donnait des informations sur tout le pays. Maintenant, il faut aller dans trois bureaux, pour la Région wallonne, pour la Région flamande et pour Bruxelles. Ne pas avoir une vue d’ensemble décourage les gens, les Américains surtout. » (Kathy Tilmans, spécialiste en marketing et en publicité, vivant aux USA)
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1995 |
Vincent Henderick, La Flandre a de gros appétits internationaux, LB, 30/11/1995
Ses motivations: l’ Europe des Régions, le Commerce et sa reconnaissance personnelle. Depuis la régionalisation du commerce extérieur en 1993, la Flandre s’est constituée un réseau de 67 attachés commerciaux. Elle leur consacre un budget annuel d’ un milliard.
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1995 |
Marc Magain, Jorge, l’alter ego de Joris, LB, 28/10/1995
Joris Stevelynck est président de la Chambre de commerce belgo-luxembourgeoise en Argentine. “Restez Belges. Les missions se succèdent ici et les Argentins y perdent un peu leur latin!” (Du 21 octobre au 3 novembre, une mission commerciale conjointe Région Wallonne – Club liégeois des exportateurs était en Argentine et au Chili).
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1996 |
Relations internationales. Coopération région wallonne – Communauté française, LB 26/11/1996
Les gouvernements de la Communauté française et de la Région wallonne ont signé lundi un accord de coopération relatif au rapprochement des administrations compétentes en matière de relations internationales. Cet accord crée un “comité de coordination administrative des relations internationales”.
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1996 |
John Erler, Neuf députés wallons s’en partent aux Indes, LB, 18/09/1996
21 personnes, une importante délégation du parlement wallon, s’est envolée pour les Indes. Le coût du voyage est de 270.000 francs par participant. Soit 5.670.000 FB. La Région flamande a du reste prévu une mission économique dans ce pays en octobre. Tout ceci à la veille de la confection du budget wallon de 1997. L’ impasse est aujourd’hui estimée à dix milliards.
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1996 |
Une deuxième Awex ?, LB 22/11/1996
Michel Hahn, le nouveau patron des patrons wallons, a une idée précise de ce que doit être l’Awex, l’Agence wallonne à l’exportation: un conseil d’administration de 10-12 personnes avec des privés et un directeur “qui connaît la musique et pas qui passe la journée assis derrière un bureau dans un cabinet ministériel”. Le patron de l’UWE constate que l’agence flamande à l’exportation a un conseil de 11 personnes, dont 6 viennent du privé, tandis que le décret wallon en est fort éloigné avec un conseil de 24 personnes dont seulement 2 patrons.
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1996 |
Le goût du luxe de Van den Brande, LB 27/12/1996
Il s’est rendu en novembre en Afrique du Sud, à la tête d’une délégation nombreuse, composée de parlementaires flamands, de deux ministres et d’une douzaine de journalistes. Dans un hôtel de première catégorie comme à l’accoutumée …
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1998 |
Xavier Ducarme, Les Belges au sommet de la vague à Lisbonne, LB 22/06/1998
Expo mondiale des océans Une exposition présentée par la Commun. fr. et une par la flamande.
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1998 |
P. Ge., Le Canada, une cible pour le marché belge, LB 10/12/1998
Opération de charme menée par le prince Philippe et à sa suite le marché belge. Un pays, trois régions et … le reste: les Belges eux-mêmes se perdent parfois dans le dédale administratif de la Belgique d’aujourd’hui. Vu de l’étranger et pour un candidat investisseur, l’éclatement des compétences entre pouvoirs fédéral et régionaux peut même transformer le labyrinthe en un mur infranchissable ou presque. (…) Certains hauts fonctionnaires du ministère canadien des Affaires étrangères reconnaissent avoir connu des cas de découragement caractérisé.
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2000 |
Baudouin du Bus de Warnaffe (BXL), Commerce extérieur et agriculture, LB 08/05/2000
Trois partis flamands de la coalition ayant voté le train de mesures confédérales adoptées par le Parlement flamand avant juin 1999, on peut se demander si la pression du VLD et le jeu de la Volksunie n’entraîneront pas le gouvernement fédéral à poursuivre dans cette voie. En attendant, les opinions peuvent varier quant aux conséquences pour les entreprises et pour le monde agricole belges de la régionalisation du commerce extérieur et de l’agriculture : des acteurs économiques estimeront peut-être que certaines garanties de cohérence prévue, mais encore à actualiser – sont satisfaisantes . Il faut toutefois faire remarquer. 1 en ce qui concerne l’ agriculture, l’affaiblissement de la représentation du secteur dans les organismes internationaux et les difficultés d’harmonisation des politiques régionales dues à la suppression du ministère fédéral de l’ agriculture; 2 en ce qui concerne le commerce extérieur: l’ encouragement donné aux deux principales régions à se profiler à l’étranger comme des entités indépendantes et la réduction qui s’en suivra de l’image belge porteuse, nonobstant les missions ‘belges » officielles qui seraient encore organisées; l’affaiblissement de la représentation de la Belgique en tant que pays au niveau international; la difficulté pour la région centrale d’ assurer sa représentation dans ce contexte pour garantir la même efficacité. L’essentiel est au-delà des conséquences directes, et la fin de la courte « paix communautaire » remet en lumière les risques de désintégration progressive de l’Etat belge. La régionalisation du commerce extérieur et de l’agriculture renforce le caractère confédéral du système institutionnel actuel. Rappelons que le confédéralisme est entre deux ou plusieurs Etats autonomes gérant ensemble quelques matières définies par un traité. Ces mesures – réduisent encore les compétences de l’Etat central; – renforcent les pouvoirs exclusifs des régions et leur compétence internationale; – étendent le système typiquement confédéral des accords de coopération (traités), causes possibles de blocages ou de marchandages; – rabaissent l’Etat central au niveau des régions dans l’établissement de ces accords et la gestion des organes communs, dans un système où l’Etat central est déjà affaibli: en effet, contrairement à ce qui se passe dans les Etats fédéraux, ses normes n’ont pas priorité sur les normes des régions. Le confédéralisme est prôné par la majorité des partis flamands.
Mais l’Histoire des nations enseigne que les Etats confédéraux ne sont généralement pas viables. La pression de minorités séparatistes, l’absence de référence aux principes du fédéralisme et le désintérêt des citoyens conduisent en douceur la Belgique vers un divorce tchécoslovaque, au détriment de la population et contre sa volonté.
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2000 |
Attirer en Wallonie, des investissements étrangers, LS 14/01/2000
L’OFI wallon va pendre la crémaillère L’OFI /Office for Foreign Investors/ est une institution autonome chargée d’attirer les investisseurs étrangers en Wallonie. L’OFI est une société anonyme de droit public, née en février 1999. Kubla, son ministre de tutelle, plaide pour un rapprochement entre l’Awex, l’Agence wallonne à l’exportation, et l’OFI. Budget annuel: 115 millions, 18 collaborateurs et deux bureaux étrangers (Tokyo / Chicago).
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2000 |
S.Vdd., Non à la régionalisation, LB 29/03/2000
Pour la FEB, défédéraliser le commerce extérieur nuirait aux sociétés. Ainsi, notamment, les Régions sont moins connues que la Belgique, capitale de l’Europe.
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2000 |
Philippe Leruth, Doper l’exportation wallonne, AL 10/04/2000
Serge Kubla, ministre régional de l’Economie, insiste à l’heure de l’Internet, sur le fait que les 77 attachés commerciaux représentant actuellement la Wallonie dans le monde peuvent être contactés en direct par les entreprises, sans passer par le siège de l’AWEX (Agence wallonne à l’exportation) ou de quelque autre institution.
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2000 |
Des vaches wallonnes en Irak ?, LB 24/07/2000
Le ministre wallon de l’Agriculture et de la Ruralité, José Happart, a engagé des négociations avec l’Irak pour la vente de 3000 vaches laitières. (…) Les professionnels de l’élevage se demandent comment les exportations seront concrètement effectuées. Acheminer 3000 vaches est impensable. Alors, va-t-on envoyer des paillettes de sperme voire des veaux en Irak?
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2000 |
Promoteur de l’export wallon, LB 02/09/2000
/= le directeur de l’AWEX, Philippe Suinen/ « Le poids économique de la Wallonie est 20 % en Belgique ; or, celui de ses exportations n’est que de 14 %.
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2000 |
La Wallonie n’a pas brillé sur les marchés étrangers, LS 09/05/2000
En 1999, recul des exportations de 2,67 %.
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2001 |
Coulée Philippe, Labels wallons / L’Orpah à la trappe – Happart et le mystère de la marque W, LS 30/04/2001
Un audit commandé par José Happart, traite la production, la certification et la promotion des produits « wallons » de « cacophonique », les structures actuelles comme l’Orpah (l’Office wallon de promotion de l’agriculture et de l’horticulture) et les labels Promog et Pro-Cerviq étant coûteux, inefficaces et incohérents sur le terrain. Happart veut une marque wallonne de certification, gérée par un « comité de la marque », mais, hormis les exigences quant à l’origine du produit, il ne dit pas grand chose sur la qualité intrinsèque des produits, sur la rigueur indispensable – primordiale et incontournable – des cahiers de charges.
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2001 |
Smeets René, Chicago / Séminaire pour investisseurs américains, AL 23/06/2001
Pour ce ‘road show’, plus de 800 invitations avaient été lancées par l’OFI wallon et Baker & Mc Kenzie (la plus grande firme mondiale d’avocats d’affaires). Mais une vingtaine seulement des financiers et industriels sollicités avaient pu se libérer.(sic)
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2001 |
Frédéric Van Vlodorp, Une véritable politique internationale, LB 05/11/2001
Le ministre-président de la Région wallonne, Jean-Claude Van Cauwenberghe, a annoncé son intetion de « remettre de l’ordre » parmi toutes les initiatives wallonnes avec l’étranger. « Aujourd’hui, cela part un peu dans tous les sens », nous a-t-il confié à Buenos Aires. « (…) je vais essayer d’inciter les pouvoirs locaux et les provinces à s’inscrire dans une stratégie régionale afin d’être plus dynamique. » Le sujet est quelque peu d’actualité puisque la province de Liège – dont une délégation se trouve également en Amérique du Sud pour l’instant – s’apprête, en s’appuyant sur des relations antérieures, à signer, sans concertation avec la Région jusqu’à présent, un accord cadre de partenariat avec la ville de Curitiba, un pôle économique en plein essor au sud du Brésil.
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2001 |
Les arrosoirs de José Happart, LB 03/07/2001
Invité personnel du président Joseph Kabila, lors du voyage du Premier ministre au Congo, Happart avait evnoyé un camion et 200 arrosoirs. « Le Fouronnais semble ignorer que les habiles artisans congolais fabriquent de très bons arrosoirs et que leur misère aurait été soulagée par le salaire qu’il leur aurait payé pour ce travail. » (…) Mais le camion et les 200 arrosoirs sont bloqués au port de Matadi parce que José Happart refuse de payer le dédouanement de son cadeau. « Saint-Nicolas a claqué tout son fric pour le transport. » On n’ose penser à ce que sera la coopération au développement lorsqu’elle sera communautarisée, puisque le principe en a été décidé …
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2001 |
AWEX et EXPORT VLAANDEREN / Régionalisation à l’envers, LB 17/05/2001
Première mission conjointe au Grand-Duché. En septembre, un deuxième voyage commun. Pour 2002, l’union interrégionale touchera la Malaisie, l’Australie, l’Ouest de la Chine, le Chili, l’Arabie Saoudite et le Koweit.
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2002 |
Olivier de Clippele, Le « Made in Belgium » reste notre vitrine, LB 11/05/2002
La Belgique est trop petite pour que chaque Région se développe de son côté. La promotion du Commerce extérieur doit être intégrée entre Régions et fédéral. (…) La quasi totalité des grandes entreprises exportatrices que nous avons interogées, est opposée à l’abandon total d’une structure belge pour le développement du commerce extérieur. (…) Ainsi, les brasseurs belges ont souhaité pouvoir continuer à participer à des manifestations internationales avec le label Belgian beer. Les foires internationales à caractère mondial : que la Belgique fédérale ne soit plus représentée dans des foires internationales, à caractère mondial, telles que Telecom Genève, CeBIT Hannover, Sial Paris et K’Düsseldorf provoque l’irritation des grandes entreprises exportatrices qui risquent d’en être absentes ou d’y être représentées à titre indépendant. (…) La concertation entre les régions et l’Etat fédéral. Y a-t-il eu concertation sur l’opportunité de la dernière mission régionale en RDC, entre la région qui a initié la Mission et l’Autorité fédérale ?
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2002 |
Diplomatie – Coopération – Accord signé entre le Congo et les francophones, LB 10/12/2002
Les ministres-présidents de la Communauté française, de la Région wallonne, et de la Commission communautaire française de Bruxelles ont paraphé le texte en présence du ministre wallon de l’Agriculture, José Happart.
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2002 |
Ch. D., « Ne dispersons pas nos énergies » (J.-P. Delwart (Eurogentec)), VA 15/10/2002
Plus on va loin (les Etats-Unis, l’Asie), moins les gens ont une perception claire de la Wallonie. Il n’y a donc pas une identité wallonne, donc pas d’image négative ou positive. »
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2002 |
Paul Piret, Wallonie, Bruxelles, Belgique, Hasquin, Tomas, tout ça…, LB 16/11/2002
(à propos du voyage de J.-CL. Van Cauwenberghe au Vietnam) S’il n’est pas toujours facile aux Belges non initiés de savoir qui fait quoi, inutile de dire la difficulté, pour les Vietnamiens, de se retrouver dans nos articulations internationales ! (…) Outre les relations économiques, avec une Awex à l’œuvre pour toutes les entreprises belges, on a donc des activités Communauté française (coopération universitaire, classes de français…) ; Cocof (protection du patrimoine par exemple) ; Apefe (formation, agronomie, muséologie… pour le compte de la Communauté et/ou de la région) ; des projets régionaux de coopération (santé, déchets, eau, tourisme…) ; enfin d’autres actions que peut soutenir la Région avec l’Agence internationale de la francophonie, les relations internationales de la Communauté française ou la coopération générale belge. A propos, dans ses contacts, Jean-Claude Van Cauwenberghe, sans surprendre, a dit voir « toute la pertinence de la future régionalisation de la coopération ».
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2002 |
Rachel Crivellaro, Des Wallons à La Havane, LB 16/04/2002
Jean-Claude Van Cauwenberghe, en mission économique à Cuba, a choisi l’ Amérique latine comme « terrain de chasse » aussi « pour contrebalancer la présence excessive des Etats-Unis ». (…) Le rapprochement avec la Belgique vise à « aider Cuba à sortrir de son isolement pour cause d’un embargo injuste, (…) ». Prochain épisode : Fidel recevra-t-il Freddy Thielemans, prochain hôte de marque belge attendu à La Havane ?
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2002 |
L’écureuil, le taureau, le coq…, LB 07/11/2002
Le ministre-président du gouvernement wallon, J.-Cl. Van Cauwenberghe, a conduit une mission officielle Wallonie-Bruxelles au Vietnam. Devant des classes francophones d’un lycée d’Ho-Chi-Minh ville, il a expliqua que « si on a choisi le coq, c’est parce que, le matin, il symbolise la victoire de la lumière sur les ténèbres ».
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2003 |
Adam Bernard (Grip), Ventes d’armes : la régionalisation est anachronique et dangereuse, LS 18/09/2003
Les régions devront recréer un centre administratif chargé de préparer les dossiers, et surtout d’assurer le suivi et le contrôle des transferts d’armes (…).
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2003 |
Anne-Marie Douillet, Coopération au développement / Philippe Suinen (directeur des relations internationales de la CF et de la Wallonie) : « La régionalisation apportera un plus », AL 13/12/2003
« Lorsqu’il s’agit d’exporter nos savoir-faire dans ces domaines ou de développer des politiques de partenariat, je crois qu’il faut éviter de mettre l’interlocuteur et le partenaire étranger en situation de cheminement labyrinthique. »
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2004 |
Pascal Sac, La FN voudrait plus belge pour son fusil d’assaut F2000, LB 27/05/2004
Elle craint de rater l’appel européen de l’armée pour quelques dizaines d’armes. En cause, la lenteur des procédures d’octroi des licences à l’exportation due au ministre Flahaut.
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2004 |
J. Keteleers, éd., Ne défédéralisez pas la Coopération au développement !, LS 15/07/2004
Et pour cause, comment envisager une politique de Coopération cohérente en multipliant les interlocuteurs, en dispersant les compétences relatives à l’aide au développement et en morcelant le budget global ?
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2004 |
Congo-Kinshasa / Une nouvelle délégation Wallonie-Bruxelles, LB 04/05/2004
A deux pas de l’ambassade de Belgique, ses nouveaux locaux auront été acquis et rénovés pour 3 millions d’euros.
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2004 |
P. Lo, Le label de qualité wallonne épinglé, LB 19/06/2004
La Cour de justice européenne juge que celui-ci est contraire à la libre circulation des produits. Les autorités fédérales belges ont déjà reconnu depuis plusieurs années que ce régime était contraire aux règles européennes, mais la région wallonne, qui a annoncé à deux reprises déjà qu’elle modifierait son règlement, n’eset toujours pas passée aux actes, déplore-t-on de source européenne. Ces lenteurs ont finalement poussé la Commission à saisir la Cour de Justice qui vient donc de lui donner raison…
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2005 |
Ch. D., Le coq, cet animal ‚simplet’, AL 07/02/2005
La Chine entre dans l’ année du coq. N’en déplaise aux Wallons, les Chinois considèrent ce gallinacé comme un « simplet ».
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2005 |
Paul Piret, La Hollande avoisine aussi la Wallonie, LB 26/02/2005
Le marché néerlandais représente en 2003 9,3 pc du total des ventes wallonnes à l’étranger (contre 16,7 pc pour l’Allemagne et 28 pour la France).
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2005 |
Paul Piret, Poucets belges chez ogres nippons, LB 23/06/2005
« Pour attirer les investisseurs aussi, il faut trouver des arguments spécifiques. Après avoir expliqué que la Belgique se trouve entre Paris et Berlin… »
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2005 |
Oser les langues !, DH 19/10/2005
Les compétences recherchées lors d’un engagement de collaborateurs : 69 % : néerlandais, 68 % : anglais, 30 % : allemand ; 9 % italien ; 10 % espagnol ; 4 % : autres langues (russe, arabe, polonais, chinois).
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2005 |
Entreprises / Nos cadres ne sont pas assez polyglottes, VA 19/10/2005
L’UWE dénonce une connaissance insuffisante des langues par les cadres de 14 % des sociétés wallonnes, suivant une enquête auprès de 630 d’entre elles. L’anglais et le néerlandais sont les langues les plus recherchées dans l’industrie, tandis que la nécessité de communiquer en néerlandais arrive en tête dans les PME. Sur les 632 entreprises interrogées, 149 emplois (dans 14 % des sociétés) ne sont pas occupés par manque de connaissances linguistiques insuffisantes.
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2006 |
Christian Laporte, Commerce extérieur : « Des missions sous houlette fédérale », LB 28/11/2006
Karel de Gucht veut une coupole fédérale pour coordonner les missions commerciales. |
2006 |
Paul Piret, A cause des Wallons, LB 15/11/2006
Grand patron des relations extérieures de la Communauté française et de la Région wallonne, Philippe Suinen n’est guère à l’aise pour évoquer le dossier Immo Congo, cette société mise sur pied pour la location-achat du bâtiment de la délégation Wallonie-Bruxelles à Kinshasa. Non qu’il se sentirait en cause. Mais parce que, c’est vrai, il était en convalescence au plus vif du dossier, au printemps 2004, après un grave accroc de santé. N’empêche, il y a de quoi sonder le haut fonctionnaire socialiste. (…) Le CGRI a encore pour vocation de contribuer au rayonnement culturel de l’espace Wallonie-Bruxelles à l’étranger. Il soutient des échanges déjeunes, finance des bourses d’études et participe activement à des projets de coopération au développement. Il dispose de 17 délégations diplomatiques dans le monde – dont celle de Kinshasa. Son budget annuel tourne autour de 42,5 millions d’euros (en 2004), pour environ 500 membres du personnel. Le CGRI est situé à Bruxelles, dans les mêmes bâtiments que l’Agence wallonne à l’exportation et que l’Association pour la formation et / l’éducation à l’étranger, avec qui il travaille en étroite collaboration. Le CGRI est actuellement dirigé par Philippe Suinen qui, dans le passé, a travaillé dans le cabinet de différents ministres socialistes. Dans l’organigramme, on retrouve également, haut placé, Jean-Claude Henrotin qui est par ailleurs, le président de la section du PS de Charleroi. Tiens, tiens.
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2007 |
Marc Vandermeir, La grande région vise les Balkans, LB 28/09/2007
Rudy Demotte s’est rendu à Plovdiv en tant que président de la Grande région. cupe, jusqu’en janvier prochain, la présidence de cette Grande région, a accru le travail préparatoire et explique la venue du ministre-président Rudy Demotte. Faut-il préciser que, en Bulgarie, le concept « Grande région » est parfaitement inconnu (tout comme l’est d’ailleurs la Wallonie)? C’est précisément en utilisant cette inconnue comme un appât qu’a joué l’Awex, tant envers les entrepreneurs locaux que vers les politiques, dont le Premier ministre et le ministre, de l’Economie. Mais, cette Grande région, finalement, c’est quoi? Un vaste espace économique de 11 millions d’habitants et 65 000 km2, qui représente 3pc du PIB de l’Union européenne. Mais qui est bien plus qu’un simple agglomérat de régions. Elle a été portée sur les fonts baptismaux en 1980 par un traité de coopération signé entre la Sarre, le Luxembourg et la France, puis s’est progressivement élargie. Avec sa multitude de travailleurs transfrontaliers (170 000) et, surtout de collaborations entre entreprises, universités, opérateurs économiques de tous niveaux, etc. La Grande région est une réalité économique évidente. Qui dispose aussi d’institutions propres qui lui donnent un air de « machin ». D’où le besoin de passer à une vitesse supérieure (lire ci-dessous). Reste que cette réalité s’affiche très bien à Plovdiv, où elle est présente entre les stands regroupant les entreprises françaises et allemandes, sous la bannière de leur pays, tandis que les entreprises de la Grande région ont fait le choix d’être sous cette bannière et non sous celle de leur pays. On relèvera enfin que la Région flamande avait elle aussi un stand, dans un autre pavillon, stand que Rudy Demotte n’a pas manqué de visiter, en s’y exprimant tout naturellement dans un néerlandais aussi parfait que son bulgare. •
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2007 |
Marc Vandermeir, La grande région vise les Balkans, LB 28/09/2007
Rudy Demotte s’est rendu à Plovdiv en tant que président de la Grande région. cupe, jusqu’en janvier prochain, la présidence de cette Grande région, a accru le travail préparatoire et explique la venue du ministre-président Rudy Demotte. Faut-il préciser que, en Bulgarie, le concept « Grande région » est parfaitement inconnu (tout comme l’est d’ailleurs la Wallonie)? C’est précisément en utilisant cette inconnue comme un appât qu’a joué l’Awex, tant envers les entrepreneurs locaux que vers les politiques, dont le Premier ministre et le ministre, de l’Economie. Mais, cette Grande région, finalement, c’est quoi? Un vaste espace économique de 11 millions d’habitants et 65 000 km2, qui représente 3pc du PIB de l’Union européenne. Mais qui est bien plus qu’un simple agglomérat de régions. Elle a été portée sur les fonts baptismaux en 1980 par un traité de coopération signé entre la Sarre, le Luxembourg et la France, puis s’est progressivement élargie. Avec sa multitude de travailleurs transfrontaliers (170 000) et, surtout de collaborations entre entreprises, universités, opérateurs économiques de tous niveaux, etc. La Grande région est une réalité économique évidente. Qui dispose aussi d’institutions propres qui lui donnent un air de « machin ». D’où le besoin de passer à une vitesse supérieure (lire ci-dessous). Reste que cette réalité s’affiche très bien à Plovdiv, où elle est présente entre les stands regroupant les entreprises françaises et allemandes, sous la bannière de leur pays, tandis que les entreprises de la Grande région ont fait le choix d’être sous cette bannière et non sous celle de leur pays. On relèvera enfin que la Région flamande avait elle aussi un stand, dans un autre pavillon, stand que Rudy Demotte n’a pas manqué de visiter, en s’y exprimant tout naturellement dans un néerlandais aussi parfait que son bulgare.
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2008 |
Philippe Lawson, La Wallonie tête de pont de la Belgique, LB 07/01/2008 Commerce extérieur – Balance commerciale
» La Région affiche un surplus commercial de 12,7 milliards en 2006 contre un déficit de 4,4 milliards pour la Flandre. » En voilà bien une réalité que certaines mauvaises langues en Flandre auraient préféré ignorer. En effet, pour la deuxième année consécutive, c’est grâce à la Wallonie que la balance commerciale de la Belgique est en boni. Selon des chiffres de la Banque nationale belge (BNB), en 2006, la Wallonie a réalisé un surplus commercial de 12,7 milliards d’euros, alors que dans le même temps, la balance commerciale de la Flandre et de Bruxelles présentait un déficit respectivement de 4,4 milliards et 5,3 milliards d’euros. (…) En 2006, les échanges de la Wallonie ont enregistré un solde négatif avec 16 pays dont les Pays-Bas (-494 millions d’euros), le Japon (-268 millions) et la Chine (-18 millions contre -89 millions en 2005). Avec les pays voisins, la balance a été positive : France (+ 5,7 milliards d’euros), Luxembourg (+ 1,3 milliard), Royaume-Uni (+ 841 millions) et l’Allemagne (+ 431 mil-,- lions). Au total, en 2006, la Belgique a vendu des produits à l’étranger pour environ 223 milliards d’euros dont 178 milliards pour les entreprises flamandes (79,9 pc du total), 39 milliards pour les wallonnes (17,6 pc) et 5,7 milliards pour les bruxelloises (2,6 pc). Les exportations pour l’an dernier ne sont pas encore connues, mais en ce qui concerne les investissements étrangers en Wallonie, les données sont encourageantes. Ils ont permis de créer 1907 emplois en 2007 contre 1492 en 2006.
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2008 |
Vincent Liévin, Brésil : voyage polémique !, DH 27/02/2008 Certains députés wallons en ont assez des dépenses au Parlement
NAMUR Ils sont de toutes les couleurs politiques (PS, Écolo, MR et CDH) et ils sont (encore) motivés par leur travail de parlementaires en Région wallonne. Ils entendent toutefois dénoncer le futur voyage de certains membres du bureau du Parlement wallon au Brésil. « Cette mission, qui se tiendra du 21 au 31 mars, est inacceptable. Elle fait penser aux missions au Vietnam ou en Inde où, on le sait, le travail n’a pas été intense », note l’un d’eux. Un des députés présents en Inde et un autre au Vietnam reconnaissent « qu’ils s’attendaient à autre chose ». Pour eux, une mission parlementaire « représentait plus de contacts officiels et de séance de travail avec les autorités locales que ce qu’ils ont vécu réellement sur place ». À ce jour, 4 personnes ont déjà décliné le voyage au Brésil. Un des partants pour le Brésil ne comprend pas la polémique : « Sur le terrain, on rencontre des homologues et les milieux d’affaires. On a notamment une visite de centrale. Je peux vous dire que le travail ne manquera pas ». A noter que, pour les relations extérieures, le Parlement, dans son budget 2008, a scindé le poste mission à l’étranger en deux : pour les délégations du Parlement du bureau, 215.000 € sont prévus, et pour.les délégations des commissions, seuls 135.000 € sont inscrits. « Ce n’estpas normal que les commissions qui doivent faire un travail de terrain aient moins d’argent que le bureau pour faire ces missions. Des missions comme au Vietnam ou au Brésil coûtent entre 60.000 et 85.000 €. Une fortune, alors que le budget du Parlement est en difficulté. Il y en a deux par an. Il faut ajouter à cela le Per Diem (allocation journalière) de 120 € », note cet autre parlementaire de la majorité. « // faut vraiment queles choses changent au Parlement. »
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2008 |
in : The Economist, 16 May 2008-05-21 www.wallonia-international.be
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2008 |
Daniel Lapraille, Rencontres intimes intéressées, AL 22/05/2008
6 PME luxembourgeoises sont à Québec (Canada) pour nouer des contacts.
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2008 |
Martial Dumont, L’exportation wallonne va bien, VA 26/09/2008
+ 10,1 % durant le premier trimestre 2008 Soit légèrement moins bien que la Flandre (10,4 %). Entre 1996 et 2008, la Wallonie s’est carrément située en moyenne au niveau de l’Allemagne (+ 8,4 %) et fait nettement (sic) mieux que la Flandre (7,7 %).
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2 Documents
Le mini-ministre du Commerce extérieur 'wallon', Serge Kubla, en mission en Irak sous la dictature de Saddam Hussein
(VA, 10/01/2001) Un moment d’attention (sic) de la part d’un responsable irakien envers notre mini-ministre régional…
La "Wallonie" maintient la Belgique à flots... ou comment mentir avec des chiffres
(VA, 10/07/2009)
De "Vlaamse" vertegenwoordiging in de wereld, een geldverspilling
(De Tijd, 05/09/2009)
Mission économique bidon de la Région "wallonne" en Californie
(Télémoustique, 25/04/2009)
La présidente de l'aéroport de Charleroi a invité des proches aux Canaries aux frais de la BCSA
(VA, 16/06/2009)
Le mini-ministre-président de la Région "flamande" en visite en Chine
(DH, 25/05/2010)
Dans FDI Magazine (édité par le Financial Times), la Wallonie ne représente plus grand chose...
(VA, 25/02/2010)