1995

Brewaeys, Philippe, Les chantages politiques du Baron /de Bonvoisin/,  Le Soir Illustré, 1 mars 1995, pp.26-27.

 

« Comme nous l’expliquait un homme politique la semaine dernière, « de Bonvoisin avait mis sur pied un système de factures fantaisistes dans le cadre de la défense des intérêts de la CGE.  Il allouait des fonds électoraux à des hommes politiques qui commandaient des imprimés, la facture allant chez de Bonvoisin. »

 

1998

Jean-François Dumont, Scrutin uninominal?, M. Collignon se trompe, LB 21/09/1998

 

Robert Collignon voudrait en finir avec le scrutin à la proportionnelle.

Il songe au scrutin majoritaire à deux tours comme en France.  La Wallonie serait alors découpée en cantons électoraux qui n’enverrait chacun qu’un seul député au Parlement.  L’élu serait le vainqueur du premier tour à la majorité ou du second tour à la majorité relative.

But de la manoeuvre?  Assure des majorités régionales plus claires.  Et assurer au PS le verrouillage d’un maximum de sièges?  Le ministre Collignon s’en défend.

Une chose est certaine: ce type de scrutin est impitoyable pour les petits ou moyens partis.

 

Francis Delpérée (UCL) est formel: la loi spéciale des réformes institutionnelles – loi fédérale dont une modification requiert la majorité des deux tiers plus la majorité simple dans chaque groupe linguistique – stipule que “les élections au Conseil de la région wallonne et au Conseil flamand se font en respectant le principe de la représentation proportionnelle”.

Quant à l’autonomie constitutive des Régions, “elle ne vaut que pour des cas précis, souligne M. Delpérée, dont, c’est vrai, le nombre de circonscriptions électorales.  Mais si M. Collignon en dessine 75, soit une par député, le principe de la loi spéciale n’est plus respecté”.

 

1999

Jean Godin, Nous avons pris le beau risque, La NG 07/05/1999

 

Listes W.A.L.L.O.N. dans la province de Hainaut (lancées par Paul-Henry Gendebien).

Son but est de faire comprendre que l’avenir de la Wallonie est en France.

 

2002

Des adhésions à Wallonie-France, LB 19/11/2002

 

Guy Charlier (PS) , bourgmestre d’Etalle

Guy Piérard (PRL) (la Louvière)

Armand Delcampe (républicain déclaré), conseiller communal indépendant à Genappe

 

2007

in : Delta, 9, 2007, p.24

 

Door de fusie van Suez en Gaz de France komen de energiebelangen helemaal onder controle van de Franse staat. De Franse staat krijgt daardoor 35% van de aandelen in handen. Niet alleen onze privé-belangen, maar ook ons bedrijfsleven, ons transportwezen en zowat alle sectoren komen daardoor onder Franse controle. Electrabel, Fluxys en Distrigas worden pionnen op net Franse politieke schaakbord en ondergeschikt aan Franse strategische belangen. Na de Generale Maatschappij waar niemand een poot voor uitstak, nu ook onze energiebevoorrading. Voorwaar, « La conquête de la Belgique n’est pas encore achevée, mais elle est en marche » blokletterde ooit een vooraanstaand Frans economisch blad. En intussen maar lullen over Vlaamse onafhankelijkheid en over communautaire « problemen », zoals de splitsing van B-H-V.

 

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