Mainmise de la France sur la Belgique, en particulier en Région "wallonne", à cause de ses collabos francophiles : économie – secteur touristique
PLAN
1 Analyses
2 Documents
1 Analyses
1986 |
G.C., Le Luxembourg belge et le département de la Meuse poursuivent une action touristique commune, AL 16/04/1986
|
1986 |
Sivry-Rance, Histoire française, LB 09/06/1986
Les animateurs du foyer culturel de Sivry-Rance ont créé un circuit touristique dénommé : “Circuit Thure-Helpe”, du nom de 2 rivières traversant la région. Ils ont voulu faire bénéficier la région française attenante au circuit mais ont dû amputer l’itinéraire de 6 km en supprimant le passage en territoire français. Avec l’accord du maire d’Eppe-Sauvage, 5 panneaux hexagonaux de fléchage touristique avaient été placés dans la partie française du circuit. Quelques temps après leur placement, on retrouva ceux-ci abandonnés dans le fossé, “la direction départementale de l’équipement à Trélon ayant constaté leur non-conformité avec la réglementation française.”
|
1987 |
Max Vandermeir, Bruxelles-Antilles : des aoûtiens bloqués ?, LB 20/08/1987
Une Plainte est déposée à la C.E.E. Mais l’arrêt tombera trop tard
Les péripéties des vols Bruxelles-Pointe-à-Pitre-Fort de France ne se déroulent plus à l’aéroport de Zaventem avec des passagers contraints de camper sur place en attendant une hypothétique autorisation de vol (voir LB des 5 et 6 août), mais bien au niveau, tellement plus feutré, des couloirs de la Commission européenne. Le 4 août, un vol de la Sobelair, affrété par la société International Air Service (IAS), pour le compte des agences de voyages Go Voyages et Yes Travel, au départ de Bruxelles et à destination des Antilles, s’est trouvé bloqué à Zaventem. La direction générale de l’aviation civile française (DGAC) avait, en effet, retiré le droit de trafic, arguant du fait que ces vols, décollant d’un aéroport étranger, comportaient plus de 20 p.c. de voyageurs de nationalité française. Il s’agit là, en fait, d’une directive qui vise uniquement à protéger le monopole d’Air France et, indirectement, d’une compagnie charter française, Minerve, qui possède, elle, l’autorisation de vol pour ces destinations. PLAINTE. Le programme, déposé en mai 87 auprès de la DGAC, avait été accepté Tous les vols furent autorises jusque fin juillet. C’est donc à partir du début de ce mois que les autorisations furent refusées. Aussi, la société IAS à-t-elle porté plainte officiellement, le 13 août, auprès de la Commission européenne. Cette plainte, longue de 40 pages, a été déposée contre la République française, le ministère français des Transports et la DGAC, mais aussi, pour partie, contre Air France et Minerve. Elle se base sur trois points principaux : 1., l’article 7 du Traité de Rome qui interdit les discriminations en fonction des nationalités; 2. un manquement de la République française par atteinte au principe de la libre. Prestation de services, sur base d’un arrêt de la cour de Justice de Luxembourg, de mai ’85, faisant obligation, encore sur base du Traité de Rome, de la mise en application de cette libre prestation. A noter que ceci reste lettre morte puisque, lors de leur conseil des 24 et 25 juin, les ministres des Transports de la C.E.E. n’ont pas trouvé d’accord sur ce point; enfin, toujours sur base de certains articles du Traité de Rome, la plainte s’attaque à la DGAC, à Air France et à Minerve pour soutien de pratiques restrictives et abus, de position dominante.
OPTIMISTES. Les avocats, comme IAS et les agences de voyages concernées sont optimistes quant à l’aboutissement de cette plainte qui s’élève contre des mesures protectionnistes en principe bannies de la C.E.E.- Ils espèrent que les vols pourront reprendre dès le 25 août. En attendant, les passagers en partance ont vu leur voyage supprimé, tandis que ceux en retour sont pris en charge par Air France, qui a partiellement renforcé ses capacités à cette fin, moyennant paiement d’un supplément important payé parles organisateurs de ces vols. Une « bagatelle » qui, selon un responsable de Yes Travel, se chiffre déjà aux alentours de deux millions.
UN MOIS. A la C.E.E., néanmoins, on signale que la plainte est examinée en urgence, mais qu’il faudra compter un bon mois pour procéder sur une base juridique et rendre un arrêt. En effet, « nous devrons en examiner tous les aspects parce qu’il s’agit d’une situation où la loi communautaire est mise en question ». Ce délai, qui reporte toute décision après la clôture normale des vols prévus par la Sobelair, risque de créer un gros problème. C’est que nombre de passagers doivent revenir à la fin de ce mois, période où tant Air France que Minerve affichent complet. On pourrait donc voir aux aéroports de Pointe-a-Pitre et Fort de France les mêmes scènes qu’à Zaventem, au début de ce mois, l’espoir de « vacances quand même » en moins. |
1987 |
Leurs vacances ont bien commencé!, Le Soir Illustré, 13/08/1987
Emotion à l’aéroport de Bruxelles-National, où les quelque deux cents passagers (en majorité français) d’un vol charter de la Sobelair, à destination de La Guadeloupe ont été obligés de passer une journée entière dans la zone de transit. Motif : les autorités françaises déniaient à l’appareil le droit d’atterrir à Pointe-à-Pitre, pour raison de protectionnisme commercial. La Sobelair est une compagnie belge et Paris considère la Guadeloupe comme chasse gardée pour les lignes aériennes françaises… Après moult tractations, le vol est tout de même parti. La Sobelair a annoncé qu’elle poursuivrait la France en justice pour violation du traité de Rome
|
1990 |
Contact entre les gîtes de France et de Wallonie, AL 11/04/1990
|
1992 |
J.-F. Dumont, Autoroute barbare …, LB 09/07/1992
/ Fin des grèves des routiers en France/ “A un barrage “filtrant” qui laisse passer les voitures deux par deux, il /= un monsieur de Charleroi/ est troisième et il s’avance. “Pas les Belges”, lance un routier. Et un autre qui croit aussi que la police c’est lui, ponctue la chose en frappant d’un “coup de poing américain” le pare-brise qui vole en éclats.”
|
1994 |
Michel Motte, Déjà douze candidatures pour les plus beaux villages de Wallonie, VA 30/08/1994
Association des plus beaux villages de Wallonie: inspirée de l’Association des plus beaux villages de France … « On étudie, actuellement, un slogan qui pourrait s’inspirer du logo français. »
|
1999 |
La route de la Grande Armée, LS 12/03/1999
Brochure éditée par les fédé du tourisme du Brabant wallon, du Hainaut et de Namur retraçant le parcours des armées napoléoniennes avant l’ultime bataille de Waterloo.
|
1999 |
Pascal Delizée, LB 12/07/1999
Le pari vert de l’Eau d’Heure Le Français Charles masse, dir. gén. de la société franco-belge Projénor, siège au sein d’Eau d’heure Développement en tant qu’administrateur et chargé de mission journalière.
“Mais où sont donc les Wallons?” Plusieurs sociétés françaises sont intervenues dans la réalisation de cette première phase de travaux d’envergure.
|
2007 |
J.-C. M., Prostitution / Le quartier nord attire les Français, LB 26/12/2007
La « loi Sarkozy » pousse vers Bruxelles de nombreux jeunes « touristes sexuels » d’Outre-Quiévrain. Ils y troublent souvent l’ordre public. La police agit Au cours du week-end précédant la fête de Noël, de nombreux contrôles de police se sont déroulés un peu partout dans le pays. La plupart avaient pour but de traquer les automobilistes avinés. Il en est un, toutefois, qui poursuivait un tout autre but. Il s’est déroulé dans le quartier de la gare du Nord, à Bruxelles. La police locale y a mené une opération de sécurisation aux alentours de la rue d’Aerschot, un des hauts lieux de la prostitution dans la capitale.
Les effets de la loi Sarkozy
Vingt et une personnes ont fait l’objet d’une mesure d’arrestation administrative pour trouble de l’ordre public. Ce qui est remarquable, c’est que sur les 41 véhicules contrôlés, 19 portaient des plaques minéralogiques françaises et que sur les 114 individus ayant fait l’objet d’un contrôle, 50 étaient des ressortissants français. En vérité, ces chiffres ne sont étonnants qu’en apparence. En effet, la présence importante de jeunes Français dans le quartier chaud de la capitale belge remonte à plusieurs mois, comme nous l’a confirmé Bernard Clerfayt (MR-FDF), bourgmestre de Schaerbeek, l’une des communes concernées par le problème.
En 2003, la loi dite Sarkozy, du nom du… ministre français de l’Intérieur de l’époque, a interdit le racolage sur la voie publique en France, ce qui a eu pour effet d’entraîner la quasi-disparition du phénomène de prostitution sur les boulevards des villes d’Outre-Quiévrain. « L’offre a disparu ou presque, observe M. Clerfayt et plusieurs réseaux se sont rabattus sur les pays voisins, comme les Pays-Bas, l’Allemagne mais aussi la Belgique. » Une des conséquences de cette loi est que nombre de jeunes Français, incapables de recourir à cette forme de prostitution visible et bon marché, se sont « offert des virées à Bruxelles », explique le bourgmestre schaerbeekois.
« Ils viennent principalement le vendredi et le samedi soir, de diverses villes françaises, à quatre ou cinq par voiture », précise notre interlocuteur.
Trublions
Leurs déambulations devant les vitrines de la rue d’Aerschot ne constituent évidemment pas un délit en soi mais ce qui est beaucoup plus gênant et répréhensible, c’est qu’un certain nombre de ces « touristes sexuels » se livrent à des agissements qui troublent profondément l’ordre public. « Ils organisent des rodéos entre eux, klaxonnent à tout va dans les rues de Saint-Josse et de Schaerbeek, dérangent les riverains, boivent plus que de raison et, une fois ivres, importunent ou menacent les passants voire les prostituées », relève M. Clerfayt. C’est pourquoi, depuis plusieurs mois, des opérations de police sont régulièrement organisées pour mettre fin à ce type d’agissements alors qu’une surveillance accrue et permanente du quartier a été mise en place. « Il faudra évidemment quelque temps avant que la nouvelle d’une plus grande sévérité policière soit connue en France, ajoute M. Clerfayt mais nous ne relâcherons pas nos efforts. »
Boulevard Albert II
Ceux-ci ont porté leurs fruits sur les boulevards du centre-ville, principalement le boulevard Albert II, où, plusieurs années durant, des péripatéticiennes de plusieurs nationalités proposaient leurs charmes aux clients potentiels de façon parfois provocante, de quoi, là aussi, troubler l’ordre public. « Les communes de Saint-Josse et de Schaerbeek ont largement réussi à endiguer le phénomène », se réjouit Bernard Clerfayt.
Bruxelles-Ville est, de son côté, toujours confrontée à la prostitution à proximité des hôtels du centre mais le problème le plus urgent, les associations de lutte contre la prostitution le confirment, se situe bel et bien dans le quartier nord.
|
2007 |
Philippe Farcy, La France gagne à Waterloo, LB 21/07/2007
Le Français Bruno Monnier est le président de Culturespaces, S.A. (siège : Paris) qui se charge depuis 18 ans de dynamiser des sites culturels, en France principalement, mais aussi en Belgique. « Nous organisons toutes les visites sur place, y compris les journées de reconstitutions avec militaires et cavaleries. Tous les week-ends d’été, nous organisons de petites reconstitutions en habits d‘époque. »
« Culturespaces verse aux propriétaires des sites des redevances en fonction de la fréquentation ; à Waterloo, elle varie entre 200 000 et 300 000 €. »
|
2 Documents
Sabotage du côté français d'un projet touristique transfrontalier belge
(LB, 09/06/1986)
L'office du tourisme de Fleurus fait la promotion d'un dictateur raciste
(VA, 27/12/2014)
Bastogne / La gaffe révisionniste francophile, anti-belge du "War Museum"
(DH, 26/04/2014)