Collaboration francophile
dans le domaine des arts
1959 |
in: Fr2 / Faites entrer l’accusé – magazine de Société : « Paul Touvier », janv. 2007
Brel travaille avec Paul Touvier dès 1959. Il l’aide à sortir un disque en 1967.
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1981 |
D. Bovy, La littérature française de Wallonie : trop formelle et désengagée, La Wallonie, 09/10/1981
Il faut se rendre à l’évidence la littérature française de Wallonie est formelle et désengagée, du moins en ce qui concerne la majorité des auteurs. Il faut remonter à Robert Vivier avec son « Délivrez-nous du mal,, pour trouver une oeuvre qui brosse tout un tableau social du Milieu ouvrier du bassin liégeois au moment où l’industrialisation pouvait être comparée à celle de la Ruhr. Cette oeuvre engagée est passée inaperçue et, actuellement, si on réimprime les oeuvres de Vivier, on oublie « Délivrez-nous du mal». Les auteurs wallons les plus engagés sur le plan littéraire on pense notamment à Marcel Thiry – sont curieusement désengagés sur le plan social ou wallon. C’est en vain que l’on chercherait le mot «Wallonie» dans l’oeuvre de Marcel Thiry! Tout reste donc à faire pour notre malheureuse littérature Pour le moins d’expression française et peut-être wallonne avec toute l’ambiguïté que recouvre le terme.
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1981 |
D. Bovy, La littérature française de Wallonie: trop formelle et désengagée, in: la Wallonie, 09/10/1981
« Les auteurs wallons les plus engagés sur le plan littéraire – on pense notamment à Marcel Thiry – sont curieusement désengagés sur le plan social ou wallon. »
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1984 |
J.-C. M., Consulat fermé à Gand: les Français furieux, LB 20/04/1984
“Dans un long communiqué, les Français de Gand rappellent combien la ville a toujours été un bastion de la langue et de la culture françaises. A côté de nombreuses associations (Amitiés françaises, Ecoles des Hautes études, Cercle Royal artistique et littéraire), l’université a toujours tissé des liens étroits avec les universités françaises, dit encore le communiqué. Les cinq troupes théâtrales francophones oeuvrant à Gand l’ont souvent fait avec l’aide du consulat.”
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1986 |
Festival de Wallonie de la chanson française, AL 20/06/1986
(finale le 8 nov.) “Plus de 400.000 F de prix seront attribués.”
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1989 |
J. H. , Un cri d’alarme des artistes belges, LB 22/04/1989
“Il faudrait comprendre que les créateurs et interprètes sont mis au monde pour façonner la culture de leur propre nation, culture différente mais complémentaire des voisines, comprendre aussi que la Belgique disparaîtra quand elle sera redevenue une colonie culturelle ouverte aux appétits des “tourneurs étrangers comme il y a 50 ans.” (André Debaar) “Le ton méprisant des déclarations directoriales dans la presse et sur les ondes françaises quant à la médiocrité du public belge et du Théâtre national d’hier, n’est pas fait pour rallier des spectateurs sensibles et indignés.”
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1989 |
José Mespouille, Les théâtres et leurs difficultés, VA 30/03/1989
“Jean-Claude Drouot quitte le Théâtre national” “D’ailleurs, il a annoncé lui-même qu’il ferait encore une saison ‘pour le plaisir’ mais que de toute façon, il était lassé des ‘rires gras et triviaux du public belge francophone’. Des rires qui, au vu de son répertoire, il n’a sans doute jamais entendu dans son propre théâtre.”
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1990 |
Les écrivains belges et leur langue, France Culture – 20.30, LB 04/04/1990
« la façon dont les écrivains belges vivent leur langue, note le responsable de cette émission (= Tire la langue), est liée à un problème d’identité complexe: d’une part, une référence constante à la culture française qui occulte ou affadit les surgissements de l’originalité, de l’autre, un contact obligé et multiple avec les dialectes, impliquant une profonde hétérogénéité. »
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1991 |
Vincent Delire, Mais qu’est-ce qui fait courir Benny B?, VA 14/03/1991
“-Que pensez-vous de ceux qui vous accusent d’être des rappeurs bidon? – Vous voulez sans doute faire allusions à l’émission de Dechavanne “Ciel mon mardi!”? … la réaction négative des rappeurs présents à l’émission n’est sans doute qu’une réaction de jalousie. Ils n’apprécient guère que des “petits Belges” fassent un malheur chez eux.”
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1991 |
Didier Rubisch, Pas de requiem pour Benny B., AL 06/06/1991
“On les croyait morts, mêlés à des sombres histoires de drogues et de vols en tout genre ainsi que bien d’autres malversations.” “Selon l’attaché de presse du groupe, la rumeur aurait démarré à l’époque du train Télévie, grossie par un public français, jaloux du pur produit “made in Belgium” que sont les Benny B.”
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1991 |
Jean Mergeai, Bienvenue à Orée, AL 30/05/1991
« C’est un fait que, dans l’espace littéraire de la langue française, la région a toujours eu mauvaise réputation, systématiquement dénigrée qu’elle est par le jacobinisme culturel mieux connu sous le nom de parisianisme. Ajoutons qu’il est arrivé à Bruxelles d’imiter Paris dans ce domaine, comme dans d’autres … »
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1995 |
A. Chenois, les Troubadours jouent la Révolution virtonnaise, AL, 02/03/1995
Pièce “Les Echalotes”, comédie en 12 tableaux de l’ auteur virtonnais Claude Raucy. Cette oeuvre s’ inspire de faits réels qui se sont produits en mars 1848 à Virton et la région. Les (sic) Virtonnais ont hissé le drapeau rouge (le drapeau français de l’ époque) sur le clocher de l’ église et ont demandé leur rattachement à la France. Le public est invité à se prononcer sur l’ issue de la révolution virtonnaise. Que choisira le public, qui représente le peuple? Rester Belge ou devenir Français?
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1996 |
M. Duyck, Nos ambassadeurs culturels, L’ Accent, 121, 1996, pp. 18-20
Dans le Standaard du 6 décembre, nous lisons que le chef d’ orchestre français Minkowski sera le nouveau directeur de l’ opéra flamand. Peter Burian serait le chef des choeurs. « Qu’ advient-il de nos propres musiciens? Qu’ advient-il de ceux qui – souvent réellement doués – ne trouvent aucun moyen de développer leurs talents dans leur propre pays, parce qu’ on leur préfère toujours des notoriétés étrangères alors qu’ ils sont sortis de nos conservatoires …?
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1997 |
Francis Matthys, “La France, c’ est d’ abord le français …”, LB 14/04/1997
“Dernière salve”: pièce sur Napo à Ste-Hélène
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1997 |
anon., in: Paris-Bruxelles, l’ annexion, Le Cri, 1997
Certains morceaux de littérature seraient insupportables si le mot “belges” y était remplacé par “Juifs” ou “Noirs”. Le lecteur rencontre du beau monde, de Voltaire à Proust en passant part Verlaine, Rimbaud, Bloy, surtout Mirbeau et plus encore Baudelaire.
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1998 |
Benoît Gilson, Pourquoi les artistes belges doivent-ils s’exporter en France?, Le Matin 26/05/1998
Avant tout une question de marché
Le marché de la Communauté française de Belgique n’est pas suffisant. En chanson de variété, il faut au moins un million pour faire un album. Certains artistes ont besoin de trois à quatre fois cette somme. Pour rentabiliser un tel investissement, il faut vendre entre 50.000 et 60.000 albums, ce qui est quasiment impossible sur le seul marché belge.
“Alors que des communautés enclavées telles que les Québécois ou les Flamands ont développé des marchés intérieurs forts avec un système particulièrement propice aux artistes “locaux”, la Communauté française est à la traîne.”
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1998 |
Laurence d’Hondt, Marc Hollogne, “le” Belge de Paris, LB 17/03/1998
Il décroche deux nominations pour les Molières pour son ciné-théâtre depuis 8 mois à l’affiche.
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1998 |
Xavier Diskeuve, Le plafond de Garouste coûtera au moins 6,6 millions de F à la ville, VA 24/06/1998
La Ville de Namur a passé commande d’une peinture monumentale destinée au plafond du foyer du Théâtre royal. L’artiste choisi, le français Gérard Gérouste, est réputé mais pas bon marché. (…) La note finale approchera sans doute les 10 millions de F.
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1998 |
Yvon Hourman, médaillé d’argent, AL 18/01/1998
La médaille d’argent du mérite et dévouement français à cet artiste qui passe le plus clair de son temps à sculpter le cuir.
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1999 |
M. M., L’aboutissement d’un projet culturel franco-belge, VA 09/10/1999
Le premier Grand-Huit, projet franco-belge, se déroule du 8 au 26 octobre, dans l’arrondissement de Dinant-Philippeville et les Ardennes françaises. Pour favoriser les découvertes de toutes les expressions artistiques.
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1999 |
T.V., Cousinage culturel entre Mons et Valenciennes, LS 15/11/1999
Des projets scéniques communs entre le Phénix Scène de Valenciennes, le CCR (Centre culturel de la région de Mons) et le CDH (Centre dramatique hennuyer).
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1999 |
F.M., Un lobby francophone pour soutenir le 7e art, LS 19/03/1999
Les amis européens du cinéma – en Belgique, où on, a inventé le multiplex, un concept qui essaime partout dans le monde aujourd’hui – soutiennent le cinéma dans les salles d’art et essai en voie de disparition. Pour éviter ce fait, ils “se structurent, à l’initiative de la France, qui a développé des projets intéressants de revitalisation.” Naissance d’une ASBL à Charleroi, Ville et cinémas Wallonie-Bruxelles, qui regroupe 5 entités: Charleroi, Liège, qui sont à la base du projet, Bruxelles, Namur et Mons.
Président: Jean-Maurice Dehousse.
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1999 |
Jean-Pierre Otte est né dans les Ardennes, LB 23/01/1999
www.paru.com “Ces Français sont décidément incorrigibles: dès qu’un Belge un tant soit peu talentueux émerge sur la scène internationale francophone, ça les étouffe de citer sa nationalité. (…) Sur ce site, on y apprend donc qu’Otte est né dans les Ardennes, “un pays sans frontière”, (…)
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2000 |
LIEGE / M.H., Naissance du prix Marcel Thiry / Défense d’une mémoire pour toute la francophonie, LS 06/09/2000
Marcel Thiry : juriste, sénateur RW, (…) Président du jury : Georges Goldine.
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2000 |
Maurane / Gourmande de langue française, VA 27/09/2000
Maurane : « J’aime cette langue riche. » « Je voudrais dire aux gens « mangez et buvez en français. C’est sain. c’est pas pollué. »
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2000 |
Geneviève Delaunoy, “Bruxelles, ville d’Afrique”: relation d’amour-haine au Congo, LB 01/04/2000
Un tableau bien sombre de la colonisation belge. Organisateurs: cadre des 3e Francophonies théâtrales Aide du ministère de la Culture de la Communauté française, du Commissariat général aux relations internationales (CGRI), de l’Agence de la Francophonie (ACCT); avec l’appui du centre Wallonie-Bruxelles à Kinshasa (,…).
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2000 |
Le mépris d’Amélie pour la Belgique, LB 21/09/2000
Amélie Nothomb passazit à « Bouillon de Culture » de Bernard Pivot vendredi dernier pour présenter un de ses livres relatif à son enfance belgo-japonaise. Ses premiers mots : « Quand on entend le mot Japon, il y a de l’admiration. Quand on entend le mot Belgique, il y a de l’hilarité. » (…) Il y a moins d’un an, lors de la présentation d’un autre livre à cette même émission, Amélie Nothomb s’était déjà laissé aller à afficher un certain mépris pour la Belgique.
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2000 |
Le Val d’Aoste accueille le livre luxembourgeois, VA 07/04/2000
Salon qui réunit la Franche-Comté, l’Arc jurassien suisse, l’Outaouais québécois, le val d’Aoste et la Communauté française par l’entremise du Service du Livre luxembourgeois du 12 au 16/04/00. Les “Salons des régions du livre” réunissent des régions frontalières, francophones essentiellement. “L’enclave francophone que représente le Val d’Aoste dans le nord de l’Italie entrapine encore parfois des conflits. De même que l’Outaoais québécois doit lutter avec toute son énergie contre les assauts de l’anglais dans cette partie du Québec qui touche, on le devine, ) l’anglophone Ottawa, sur la rivière des Outaouais.”
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2001 |
Vresse / Goblet Gérard, Ils chantent la Semois, VA 15/06/2001
Amis de la Grice (association franco-belge), siège : Charleville
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2001 |
in: Gihousse Marie-France, Séduire pour être connu à Paris, AL 05/05/2001 Ainsi, depuis le 17 janvier, l’Opéra Royal de Wallonie (dirigée par le
= C’est tout ce que l’on sait faire avec la culture française en Belgique:
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2001 |
M.L., Juillet musical / A Saint-Hubert et à la Converserie – Grand Motet et ambiance Louis XIV, AL 17/07/2001
Concert entièrement consacré à Henri Du Mont, dit « Le Grand Motet », Liégeois qui, au 17e siècle, inaugure une nouvelle forme typiquement française de musique sacrée : le Grand Motet. Il officiait à la cour du Roi-Soleil.
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2002 |
NAMUR / Soirée de la francophonie, VA 03/04/2002
10e anniversaire de la Fureur d’écrire Soirée à la Maison de la Culture, en présence de Mme Honhon, consul de France à Namur. Un jeune a notamment des poèmes de Léopold Sédar Senghor, « l’initiateur de la francophonie ».
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2002 |
F.C., Littérature – récompense/ A Armel Job, le Grand Prix France/Wallonie-Bruxelles, AL 21/11/2002
décerné par l’ADELF (association des écrivains de langue française)), réunie à la Délégation de la CF et de la région wallonne de Belgique à Paris.
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2003 |
Folon et la légion d’honneur, LB 25/09/2003
Jean-Michel Folon sera fait Chevalier de la Légion d’Honneur.
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2003 |
Jeunes talents / Namur – Le palmarès Francovision, VA 16/12/2003
Les chanteurs lauréats se sont vus offrir par l’asbl Rochane le voyage aller-retour Paris-Noumea, tandis que le comité international « Pacific événement » leur offre l’hébergement pour la durée du séjour lors du concours international de Francovision.
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2003 |
L. Gilissen (7000 Mons), L’année Simenon, LSM 26/02/2003
Cette vérité historique méritait d’être dite (et probablement révélée) aux lecteurs du « Soir magazine » : il s’agit de l’antisémitisme, de l’antiprogressisme du parti catholique de ce temps, de l’antisocialisme et de l’antimaçonnisme qui se lisent dans les billets que l’écrivain a publiés dans « La Gazette de Liège ».
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2003 |
Les risques de l’impro, LB 30/11/2003
Le spectacle « Random », présenté par la ligue d’impro belge à Braine-l’Alleud, présente un humour gras, avec l’accent belge ou liégeois à toutes les sauces, voire à toutes les impros (…). Voilà une bien pâle copie de l’impro telle qu’on la connaît. (02/289.09.10)
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2004 |
A.-F. So., La fresque des Wallons, DH 03/09/2004
Namur / La Ville a fait installer une fresque murale sur le mur donnant sur les Jardins du Mayeur. Pour l’heure, la fresque comporte quelque 250 références aux illustres Wallons. Le coût global s’élève à 150.000 euros. Elle fut réalisée par les artistes de la Cité de la Création … de Lyon avec l’appui (sic) de deux jeunes des Beaux-Arts de Namur.
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2005 |
Musique / Mortier dénonce le conservatisme français …, LB 18/04/2005
Directeur de l’opéra de Paris, Gérard Mortier fustige le conservatisme français à l’égard de la musique contemporaine : « La France est incroyablement conservatrice. Il n’y a pas de rubriques culturelles dignes de ce nom (dans la presse) et il n’y a pas de penseurs courageux. »
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2005 |
Przybylski Eddy, Le jeu de la vérité de Sandra Kim, DH 14/05/2005
Sandra Kim : « Quand je me promène dans la rue /en Flandre/, on me regarde comme si on voyait l’Atomium. Mais en Wallonie, c’est un handicap si on n’a pas d’abord réussi en France ».
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2005 |
La Belgique triomphe (sic) à Paris, CTR 04/03/2005
Aux Césars 2005
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2006 |
Mortier is het stilaan beu in Parijs, in : Delta, 8, 2006
Gérard Mortier suggereert een mogelijk voortijdig vertrek bij de opéra van Parijs. Aïs zijn vieijarige ambtsperi-ode aïs intendant van de Parijse opéra erop zit, wil Gérard Mortier (63) niet meer bij een andere grote opéra aan de slag aïs bestuurder. De Gentse cul-tuurmanager geeft in een ge-sprek met het Duitse pers-agentschap dpa toe dat hij de problemen onderschat heeft. ,,Ik heb zware maanden achter de rug. Ik had nooit gedacht dat critici en publiek zo fel op het nieuwe répertoire zouden reageren », zegt Mortier, die halverwege zijn vierjarige ambtsperiode is. Mortier bruuskeerde met zijn répertoire van de twintigste eeuw en moderne Mozart-en-sceneringen het burgerlijke publiek, dat voor een deel ver-ontwaardigd de zaal verliet en de opvoeringen op fluitconcer-ten onthaalde. Na successen aïs directeur van De Munt in Brussel, de Salzburger Festspiele en de Ruhrtriënnale in Noordrijn-Westfalen, nam Mortier in 2004 de leiding over van de Parijse opéra de la Bastille en de opéra Garnier. De aanstelling van de gerenommeerde cui-tuurpaus had een positieve in-vloed op het aantal toeschou-wers. Er werden 8 procent meer abonnementen verkocht, en de beide operahuizen met 5.000 plaatsenwarenvaakvoor meer dan 95 procent bezet. Tij-dens zijn bestuursperiode in Brussel, Salzburg en het Ruhr-gebied kon Mortier innovatief zijn, wat volgens hem in Parijs niet of nauwelijks mogelijk is, omdat het met zijn 1.800 me-dewerkers een veel te grote machine is. ,,Alleen al de onder-handelingen met de vakbon-den nemen bijzonder veel tijd in beslag. » Aïs er na nationale stakingen ook interne stakin-gen bij de opéra komen wegens de geplande pensioenhervor-mingen, zou het voor Mortier allemaal wel cens teveel kun-nen worden. ,,Dat zou voor mij ook een reden zijn om mijn ambtsperiode hier vroeger te beëindigen. » Na Parijs wil hij projecten in de stijl van de Ruhrtriënnale in overweging nemen, waar de zaken nog te bewegen en te hervormen zijn. ,,Ik was de af-gelopen tijd vaak in Oost-Eu-ropa, in Rusland en Polen. Ik heb zin in kleinschaliger projecten, waarmee nog iets ver-nieuwends gebracht kan worden. » (belga)
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2010 |
Blanmont Nicolas, L’OPL affirmera sa francophonie, LB 12/09/2010
Jean-Pierre Rousseau (Français ?) , directeur général de l’Orchestre Philharmonique de Liège, veut défendre « l’identité française de l’orchestre ». Il afirme : « Il n’y a aucun intérêt à devenir le quarante-quatrième orchestre allemand. L’OPL a une sonorité et des habitudes françaises (sic), (…). » Et de critiquer les orchestres français qui ne défendent plus ces principes, en particulier ceux qui ont engagé des chefs d’orchestre étrangers (Christoph Eschenbach, Myung-Whun Chung et Kurt Masur).
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