L'écofascisme / Les meilleurs spécialistes s'attaquent à l'arnaque concernant la lutte "pour" le climat

Le rêve de nombreux écologistes... mais cela demande beaucoup de travail, trop pour beaucoup.

(Le Messager de Fosses-la-Ville, 29/10/1982)

Eco-fascisme : de organisatie 10:10

(De Standaard, 10/05/2010) 

Yann Arthus-Bertrand, grand pollueur, mais moraliste sans scrupule

(UBU-PAN, 10/02/2011)

Yann Arthus-Bertrand, soutenu par et soutenant le Qatar, pollueur

(UBU-PAN, 06/07/2012)

Günter Grass warnt vor "Öko-Diktatur"

(LW, 12/04/2011)

Les magouilles du WWF (World Wildlife Fund)

(UBU-PAN, 28/06/2012)

Le lobby vert du renouvelable

(Robert Vandermeeren, in: Le Vif, 24/05/2013)

GIEC & CAPITALISME VERT

Par Sylvestre Huet2 novembre 2014 à 19:46

 

Né sous la pression de Reagan et Thatcher, le Giec a accompagné la montée des prises de conscience du changement climatique.

https://www.liberation.fr/sciences/2014/11/02/comment-cette-structure-a-impose-son-autorite-scientifique_1134764

 

Reporterre, le quotidien de l’écologie

Le capitalisme vert utilise Greta Thunberg

9 février 2019 / Isabelle Attard

Notre chroniqueuse a vécu plusieurs années en Laponie suédoise et a présidé le groupe d’amitiés France-Suède à l’Assemblée nationale. C’est donc avec un regard attendri qu’elle s’est penchée sur l’histoire de la jeune militante écologiste Greta Thunberg…

Isabelle Attard a été députée écologiste du Calvados. Elle se présente comme « écoanarchiste ».

 

Isabelle Attard

Depuis environ cinq mois, une jeune Suédoise de 16 ans, autiste Asperger, se retrouve sous les projecteurs médiatiques du monde entier. Elle fait la « grève de l’école » pour se faire entendre et son combat est juste. Il s’agit pour elle de passer un message aux milliardaires, aux décideurs politiques, que ce soit à la COP24 en Pologne ou dernièrement à Davos afin qu’ils respectent leurs engagements sur le climat. Son dernier discours a ému quasiment tous les militants écologistes de la planète :

Je ne veux pas que vous soyez désespérés, je veux que vous paniquiez. Je veux que vous ressentiez la peur qui m’habite chaque jour et que vous agissiez, comme s’il y avait le feu, parce que c’est le cas. […] Il y a encore une petite chance de stopper les émissions de gaz à effet de serre afin d’éviter des souffrances pour une grande partie de la population de la planète. »

Derrière ces moments forts, on trouve un petit génie suédois des « public-relations », Ingmar Rentzhog. L’envers du conte de fées est moins joli, mais plus intéressant.

Le journaliste d’investigation suédois Andreas Henriksson est, d’après mes recherches, le premier à avoir enquêté sur ce sujet et son article a été publié sur le blog de Rebecca Weidmo Uvell, le 11 décembre 2018.

Tout a été finement programmé pour transformer la jeune Suédoise en héroïne internationale 

Greta Thunberg en grève devant le Parlement suédois.

La belle histoire de Greta Thunberg commence le 20 août 2018. Ingmar Rentzhog cofondateur de la start-up We Don’t Have Time (Nous n’avons pas le temps) croise Greta Thunberg devant le Parlement suédois et publie un post émouvant sur sa page Facebook. Nous sommes le 1er jour de la grève commencée par Greta. Le 24 août, sort en librairie une autobiographie mêlant crise familiale et crise climatique, Scener ur hjärtat, corédigée par Malena Ernman la mère de Greta, Svante Thunberg son père, Beata, sa sœur, et Greta. Les parents artistes – chanteuse lyrique et acteur – sont très connus en Suède ; Greta, pas encore.

En fait Ingmar Rentzhog et la famille de Greta se connaissent déjà et ont participé ensemble à une conférence sur le climat le 4 mai 2018. Peu de place au hasard donc, dans la rencontre à Stockholm, sur le trottoir devant le Parlement entre Ingmar et Greta.

Tout a été finement programmé pour transformer la jeune Suédoise en héroïne internationale, et ce, dès le 1er article paru dans le quotidien le plus lu dans le pays, Aftonbladet, quelques heures seulement après le post Facebook de Rentzhog.

We Don’t Have Time, la start-up qu’il a cofondée en 2016, a l’ambition de créer un réseau social de plus de 100 millions de membres, qui influencera les hommes et femmes politiques et les chefs d’entreprise pour qu’ils agissent davantage contre le réchauffement climatique. C’est ce qui apparaît en tout cas dans leur plaquette web.

C’est la que ça se complique. Parmi les actionnaires de la start-up, on trouve les membres de deux familles interconnectées : les Persson, enfants du milliardaire Sven Olof Persson, qui a fait fortune, entre autres, dans la vente de voitures (Bilbolaget Nord AB) et les Rentzhog. Les deux familles d’investisseurs, qui se sont rencontrées dans la région du Jämtland, n’ont aucun lien avec l’écologie, ce sont des spécialistes de la finance.

Sauver la planète tout en maintenant la croissance économique et en réclamant encore plus de mondialisation 

En mai 2018, Ingmar Rentzhog est recruté comme président-directeur du think tank Global Utmaning, faisant la promotion du développement durable et se déclarant politiquement indépendant. Sa fondatrice n’est autre que Kristina Persson, fille du milliardaire et ex-ministre social-démocrate chargée du développement stratégique et de la coopération nordique entre 2014 et 2016. Via l’analyse des tweets du think tank, on observe un engagement politique fort, à l’aube des élections européennes, envers une alliance qui irait des sociaux-démocrates à la droite suédoise. L’ennemi étant « les nationalismes » émergeant partout en Europe et dans le monde. Des idées qui ne déplairaient pas à notre cher président Macron.

Le 16 janvier 2019, Global Utmaning était fière d’annoncer sur les réseaux sociaux sa nouvelle collaboration avec Global Shapers, une communauté de jeunes dirigeants de 20 à 30 ans « dotés d’un grand potentiel pour jouer un rôle dans l’avenir de la société et qui travaillent à améliorer la situation des populations autour d’eux ». Ce réseau a été créé de toutes pièces par le Forum économique mondial en 2011. Ses leaders entendent bien sauver la planète tout en maintenant la croissance économique et en réclamant encore plus de mondialisation. Tout un programme.

Je résume. Nous avons d’un côté une plateforme numérique en construction, We Don’t Have Time, qui a pris un réel essor il y a quelques mois grâce à Greta Thunberg, « jeune conseillère » de la fondation dirigeant cette plateforme. J’ai oublié de préciser au passage que les centaines de milliers d’adresses mail collectées par Rentzhog valent de l’or. Et de l’autre, nous avons une famille de milliardaires comptant une ex-ministre qui investit dans cette start-up, puis qui embauche Ingmar Rentzhog dans un think tank développant les thèmes de la croissance verte, de l’économie circulaire, bref, de greenwashing.

Ce greenwashing qui permet au capitalisme de perdurer. Greta Thunberg se retrouve à conseiller ceux qu’elle fustige. Comme disait l’auteur du Guépard, « si nous voulons que tout reste tel que c’est, il faut que tout change » (Guiseppe Tomasi Di Lampedusa).

  • Post-scriptum : Que les choses soient claires : le combat de cette adolescente et de tous les jeunes qui lui emboitent le pas, partout dans le monde, est sain et une formidable source d’espoir pour la prise de conscience écologiste.
    Par contre, je pense qu’il ne faut pas être dupe du rôle de certains adultes autour d’elle, spindoctor, mentor, spécialistes du greenwashing, de la croissance verte et du capitalisme. Pour lutter efficacement, ne pas être dupe est une nécessité.

 

Mediapart, 10/02/2019

Le réchauffement climatique anthropique : un mensonge qui arrange !

·         10 janv. 2016

·         Par ANTOINE CALANDRA

·         Blog : Le blog de ANTOINE CALANDRA

La COP21 qui s’est tenue à Paris en décembre 2015, pour accoucher d’une broutille, a remis la question du climat sur le devant de la scène politico-médiatique et m’a donné envie de faire le point sur ce sujet controversé. Le dernier « résumé pour les décideurs » de 2014 publié par le GIEC, agence de l’ONU, a servi de base de travail lors de cette grande foire internationale.

 

L’ONU (Organisation des Nations unies) est une organisation internationale censée apporter la paix dans le monde. Elle comprend de nombreuses agences qui sont malheureusement au service des multinationales et des élites politiques, et pas au service des peuples.
L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) par exemple, suite à un accord de 1959, n’a pas le droit de s’exprimer, ni d’agir en faveur des populations contaminées par la radioactivité sans l’aval de l’AIEA  (Agence Internationale de l’Energie Atomique)
L’AIEA est un autre exemple de structure de l’ONU peu indépendante, à la fois gendarme (très gentil) et complice de la prolifération nucléaire dans le monde. Fukushima en est une illustration magistrale : depuis le 11 mars 2011, début de ce terrible accident nucléaire, l’AIEA s’emploie à minimiser la gravité de la catastrophe pour ne pas nuire au développement de l’énergie nucléaire dans le monde.
Je pense aussi à la FAO (Organisation des Nations-Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture) qui prend comme alibi la faim dans le monde (qu’elle a peu combattu) pour promouvoir le développement des OGM.
Mais revenons au GIEC, l’agence de l’ONU la plus médiatisée ces dernières années. Il y a en effet un enjeu financier colossal autour des choix énergétiques, et bien sûr un lobbying effroyable.

 

La création du GIEC

Le GIEC fut créé en 1988 à la demande du G7 (G20 aujourd’hui) sous la pression de Ronald Reagan et Margaret Thatcher. 
Dans les années 1970 Thatcher, premier ministre, était en difficulté à cause des mineurs britanniques qui menaient de fortes grèves générant coupures d’électricité. Elle n’avait pas confiance dans les compagnies pétrolières ; sa préférence était l’énergie nucléaire.
En 1979, à Genève, se tient la première Conférence mondiale sur le climat. Alors que la crainte dans ces années là était celle d’un refroidissement planétaire, est déclaré que le dioxyde de carbone(CO2) émis par les activités humaines pourrait réchauffer la planète et avoir de graves  conséquences.
Très opportuniste, Margaret Thatcher s’empare de cette pensée nouvelle pour faire la promotion de l’énergie nucléaire. La France déjà très engagée dans le nucléaire, sous la présidence de François Mitterrand, avec Jacques Delors président de la Commission européenne et représentant la France lors des grands sommets internationaux, appuie cette ligne politique.
Et le GIEC (Groupe Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat) va naître en novembre 1988 et tout faire pour prouver la véracité de ce réchauffement climatique anthropique. Le lobby nucléaire y est dès le départ très présent.
Il est amusant de constater que le GIEC s’est renommé « Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat » dans les traductions suivantes. L’appellation anglophone IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change) ne contient pas ce mot. Le GIEC est un « Groupe Intergouvernemental » c’est à dire avant tout une structure soumise aux forces politiques.

Un mensonge qui arrange !

Depuis sa création le GIEC publie tous les six ans environ un épais rapport de plusieurs milliers de pages, ainsi qu’un « résumé pour les décideurs » de 20 à 40 pages servant de base aux négociations climatiques internationales. Le cinquième et dernier rapport date de 2014. Au fil des ans, ces résumés sont devenus de plus en plus illisibles.
Les trois premiers rapports du GIEC restaient prudents. En 1995, le GIEC concluait en disant qu’aucune des études n’avait apporté la preuve que le changement climatique puisse être attribué aux gaz à effet de serre. En 2001, le GIEC soulignait qu’en matière de modélisation du climat, ils étaient face à un « système chaotique couplé et non linéaire » et que les prédictions à long terme s’avéraient impossibles.
Mais dés le 4 ème rapport (AR4), fin 2007, sans aucune donnée nouvelle, le GIEC affirme que la réalité et l’ampleur du réchauffement climatique sont « sans équivoque ». L’effet de serre du CO2 serait la cause d’un réchauffement pouvant atteindre 6,4° en 2100 si rien n’était fait; cela provoquerait aridité, désertification, catastrophes climatiques et montée des océans. Des prédictions avec un écart allant de 0,2° à 6,4°! Une marge d’incertitude invalidant leurs conclusions.
AR4 affirmait entre autres que les glaciers de l’Himalaya pourraient disparaître en 2035 voire avant. Le GIEC dût démentir en 2010 suite aux protestations des scientifiques. Des études ont confirmé qu’il n’y avait aucun recul inquiétant des glaciers en Himalaya et plusieurs scientifiques et ex-experts du GIEC  démissionnèrent pour exprimer leurs désaccords quant aux méthodes de travail et ses conclusions.
En tant que vice-président dans l’administration Clinton,  Al Gore aida à promouvoir le protocole de Kyoto en 1997, traité international visant à réduire les émissions de CO2.
En 2006,  dans son film « une vérité qui dérange », Al Gore se met en scène pour expliquer la future catastrophe planétaire liée aux activités humaines. Ce film quasi hollywoodien très médiatisé, avec ses images d’apocalypse et sa courbe impressionnante « en crosse de hockey » pour illustrer le réchauffement depuis la période industrielle, eut un retentissement international.
Mais cette courbe était fausse ! (et ce n’était pas la seule erreur). Elle avait été sciemment falsifiée. Ce mensonge scandaleux à des fins idéologiques aurait dû entraîner la dissolution du GIEC. Mais non, le GIEC admit son «erreur», la courbe disparut du rapport suivant et le film reçut 5 prix, 2 nominations et le prix Nobel de la paix fut attribué en 2007 au GIEC et à Al Gore !!
Puis il y eut en 2009, peu avant le sommet de Copenhague, la « Climategate », autre affaire très grave. Des hackers avaient diffusé plus de 5000 e-mails de hauts membres du GIEC. Dans ces échanges apparaissaient clairement les manipulations des données scientifiques pour les faire coller à leur théorie réchauffiste, ainsi que des rapports de scientifiques censurés « comme non conforme » à la version officielle du GIEC. On y vit aussi leurs méthodes d’intimidation contre ces scientifiques « dissidents ».
Le président du GIEC, Rajendra Pachauri, faisant l’objet d’une plainte pour harcèlement sexuel, dût démissionner le 24 Février 2015. Ce n’était pas le seul scandale le concernant; il était également visé par des accusations de conflits d’intérêts et d’enrichissement personnel.
Dans le 5ème et dernier rapport (2014), sans nouvelles données scientifiques, le GIEC devient plus affirmatif encore : le réchauffement du système climatique est dû aux activités humaines (probabilité de plus de 95 %) et il faut mettre fin à l’utilisation des énergies fossiles, principales responsables.

Qu’en est-il de ce soi-disant réchauffement climatique anthropique dû au dioxyde de carbone (CO2) ?

Tout d’abord, il est bon de rappeler que le climat de la Terre n’a jamais été constant et a sans cesse changé. De plus la climatologie est une science récente qui ne s’est développée qu’après la seconde guerre mondiale.
L’atmosphère de la Terre se compose d’une multitude de gaz dont une petite partie sont des gaz à effet de serre. Le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau (H20). Heureusement qu’elle est là sinon il y aurait sur Terre 30°C de moins, soit une température moyenne de -18°C.
Le C02 est un gaz à effet de serre assez mineur ; c’est le seul qui augmente de façon significative. Depuis 20 ans, son augmentation semble se limiter d’elle-même dans une période pourtant fortement émettrice.
Pourquoi le CO2 a t-il augmenté ? la raison principale semble avoir peu de lien avec les activités humaines, mais venir surtout des cycles solaires ; le soleil ayant connu une période d’activité intense depuis 1950, cause non prise en compte par le GIEC.
La hausse des températures, du niveau des océans et le recul des glaciers seraient liés à la lente récupération de la Terre depuis 1715, fin du dernier « petit âge glaciaire ». Cette alternance entre petits âges glaciaires et périodes plus chaudes a pu être observée dans l’histoire de la Terre grâce à l’analyse des carottes glaciaires sur une période de 600 000 ans.
Le CO2 suit les changements de températures. Il est une conséquence et non une cause. Quand il fait froid, les océans absorbent plus de CO2, et quand il fait chaud, c’est l’inverse, ils en rejettent davantage. Le taux de CO2 d’origine anthropique dans l’atmosphère serait d’environ 5 %.
Les océans représentent la majeure partie de la surface du globe et constituent un immense réservoir de CO2 contenant 60 fois sa quantité dans l’atmosphère.
Depuis 2003, 3000 balises Argo sont installées sur tous les océans du globe et leurs données sont transmises par satellite. Ces capteurs ne constatent aucune évolution significative de la température des océans depuis leur mise en place.
Depuis le début du XXIème siècle, les instituts spécialisés parlent de « pause », le GIEC emploie le mot « hiatus ». Le taux de réchauffement durant la période 1970-1998 était d’environ 0,17°C par décennie, alors que durant 1998-2012, ce taux est passé à environ 0,04°C par décennie (chiffres du MET Office, un des 3 plus importants centres de météorologie mondiale, utilisés par le GIEC). Des records de température sont toujours observés, ce qui n’est pas en contradiction avec l’ambiance de fond qui elle est quasi stationnaire.
Il y a aussi le phénomène El Nino qui est à l’origine de phénomènes météo exceptionnels perturbant le climat planétaire. Il est particulièrement puissant en 2015-début 2016. Son influence reste faible en Europe.

Des prédictions peu scientifiques …

Les mesures récentes, en particulier celles provenant des satellites et des balises Argo, sont trop éloignées des projections du GIEC pour valider leur théorie. De plus leurs modélisations ne concordent pas avec les cycles du passé. Comment pourraient-ils faire des prédictions justes pour l’avenir !?
Un rapport très complet datant de 2009, signé par 37 spécialistes internationaux concluaient par : les causes anthropiques du changement climatique restent marginales devant les causes naturelles.
Le soleil sortirait d’un cycle d’environ 60 ans d’activité intense et la tendance pourrait s’inverser et amener alors un refroidissement jusqu’en 2030.
De nombreux facteurs ont une influence sur le climat : les cycles solaires, le rayonnement cosmique (c’est à dire les particules chargées d’énergie qui pénètrent dans l’atmosphère terrestre), la formation des nuages, la dynamique des océans, le volcanisme et d’autres encore.
Les phénomènes météorologiques sont de nature chaotique et d’une prédiction aléatoire. La prévision climatique est complexe. Personne n’est en mesure de savoir vers quoi évoluera le climat d’ici la fin du XXIème siècle.
L’être humain et l’animal ne peuvent vivre sans oxygène comme les plantes ne peuvent se passer de CO2. Le CO2 est couramment utilisé dans les serres pour accroître le rendement des cultures. Aujourd’hui, le pourcentage de CO2 est de 0,04%. Un humain peut vivre dans une atmosphère contenant jusqu’à 5% de CO2. A ne pas confondre avec le monoxyde de carbone (CO), gaz toxique qui résulte de la combustion incomplète du bois, charbon, pétrole, gaz, etc…

Que penser de tout ça ?

Tout d’abord, les différentes affaires, erreurs et mensonges montrent qu’il n’y a aucune rigueur scientifique dans les travaux du GIEC, une structure pourtant censée synthétiser les travaux de qualité de nombreux scientifiques. Nous subissons une effroyable propagande idéologique. Il est d’ailleurs politiquement très incorrect de contester leurs thèses et tout est fait pour discréditer les contradicteurs en les raillant ou en censurant leur travail. D’où les départs de scientifiques du GIEC ( comme Judith Curry, une des climatologues les plus emblématiques )
Et surtout, il apparaît clairement qu’il y a de graves problèmes bien plus urgents à se préoccuper que cet éventuel réchauffement climatique futur.
Le matraquage permanent des médias autour de ce « global warming » anthropique sert à tout justifier : une inondation  inédite, une tornade comme jamais auparavant, des sécheresses dévastatrices de plus en sévères, des ouragans  plus puissants que jamais,  et même des truffes en baisse et des chenilles processionnaires en plus ! Diantre, vivrions nous les débuts de l’apocalypse ! Tout est pain béni pour servir ce dogme. 
Face au GIEC, certains « climato-sceptiques » ont des intérêts politiques et financiers aussi peu louables. L’enjeu climatique oppose l’industrie pétrolière et l’industrie nucléaire. S’y ajoute le récent enjeu des énergies renouvelables et les affrontements entre multinationales sont impitoyables. Cette fixation sur le CO2 est aussi un moyen de tenir à distance l’émergence économique des nouvelles puissances.
Le GIEC tente de donner à l’industrie nucléaire une dernière chance. Concernant la France, il est peu probable qu’elle soit économiquement en mesure d’investir les sommes énormes qu’elle a dépensée depuis les années 1970 pour renouveler son parc nucléaire vieillissant. D’autant plus qu’il n’y a rien de nouveau depuis longtemps sur le plan technologique. Les EPR sont très coûteux, d’une technologie ancienne, dangereuse et pas au point.
Quant au projet expérimental ITER à Cadarache sur la fusion nucléaire, il ne verra probablement jamais le jour. C’est un projet pharaonique des années 80, complètement obsolète, au coût faramineux encore inconnu, qu’ils n’arriveront pas même à construire. Une majorité de scientifiques n’y croit pas. (Je reviendrai prochainement sur ITER)
Le nucléaire produit aujourd’hui à peine plus de 10% de l’électricité mondiale et ne représente que 1,8% de la consommation mondiale d’énergie. Malgré l’alibi d’être une « énergie décarbonée » pouvant lutter contre le réchauffement climatique, un nouvel essor de l’énergie nucléaire semble peu probable. La France se trouve donc dans une impasse avec des centrales dangereuses et vieillissantes qui fournissent 77 % de son énergie électrique.
Mais une nouvelle économie repeinte en vert se porte bien et mise sur de juteux profits futurs grâce aux thèses du GIEC. Les cabinets et consultants sur « l’empreinte carbone » prospèrent. La vente des voitures électriques espère décoller.
De nombreuses institutions environnementalistes (WWF, Réseau Action Climat, Greenpeace, Réseau Sortir du nucléaire,…) se sont bien sûr ralliées au discours dominant et à cette croisade, rejoignant ainsi pronucléaires et autres lobbies malpropres, et détournant les militants écologistes des vrais combats à mener. WWF et Greenpeace ont été associés au GIEC dès sa création.
Le matraquage autour de ce réchauffement idéologique a réussi à formater la pensée de nombreux militants qui sont devenus les relais zélés de cette propagande. Les personnes contestant ce dogme, ont vite droit à des insultes et se voient même traiter de révisionnistes !
Le capitalisme industriel fait des ravages sur la planète et de vraies catastrophes sont devant nos yeux.
Le danger de la science comme de la religion est de faire d’une théorie une grille de lecture unique et imposée. Les croyances ne devraient pas avoir leur place dans une étude scientifique.
Cette propagande sur une catastrophe climatique à venir permet de laisser dans l’ombre les catastrophes mondiales bien réelles, catastrophes à la fois humaines et environnementales : les guerres et la faim dans le monde, la pollution de l’air, des sols, des mers et des rivières (par des composants chimiques plus problématiques que le CO2), l’appauvrissement de la biodiversité, les déchets nucléaires, …
Impossible de passer sous silence la terrible catastrophe nucléaire en cours à Fukushima. Matsuhei Murata, ancien ambassadeur du Japon en Suisse, parlait il y a quelques jours, d’un accident encore jamais vécu par l’humanité et toujours pas maîtrisé. Les cœurs fondus des réacteurs restent inaccessibles à cause de leur niveau de radiation, détruisant même les robots envoyés. De grandes quantités de radionucléides mortels sont rejetés sans cesse dans la mer et dans l’atmosphère, et ont atteint l’ouest des États-Unis. Aucune perspective de solution à ce jour. M.Murata souhaite que le Japon se retire de l’accueil des jeux Olympiques de 2020 pour consacrer tous les efforts à la crise de Fukushima.

Fera t-il beau demain ?

La COP21, à Paris en décembre 2015, a coûté plus de 180 millions € et s’est terminée par un accord international, qualifié d’historique, ratifié par 195 États : stabiliser le réchauffement climatique dû aux activités humaines bien en dessous de 2°C d’ici à 2100 (sans aucun engagement chiffré des États).
Quel gaspillage d’argent public et quel égarement !
L’Homme ne commande quasiment rien du climat de la Terre. Ce sont là des forces naturelles bien plus puissantes qui sont à l’œuvre. Qu’en sera t-il du climat et de la température de la fin du siècle ? Fera t-il plus chaud ou plus froid ? Nous l’ignorons !
Le GIEC devrait être dissous. Rester aussi influent sur la scène internationale après une telle accumulation de mensonges, d’erreurs et de manipulations, montre la puissance des lobbies et forces politiques qui sont derrière cette structure.
Si l’ONU et ses agences se démenaient autant pour le bienfait de l’humanité qu’elles le font pour le monde des affaires, nous pourrions être confiants dans l’avenir.
Les multinationales ont pris le pouvoir et mènent le monde. Les dirigeants ne sont que des marionnettes pour les servir et nous endormir. Ils se plient aux impératifs du monde économique et délaissent les vrais problèmes de notre siècle.
Il est urgent de remettre en cause nos sociétés occidentales, qui tirent le monde vers le pire, et de revoir radicalement leur fonctionnement (production, consommation, distribution)
Parler du temps permet souvent de ne pas aborder les choses essentielles !

Antoine Calandra
     janvier 2016

http://coordination-antinucleaire-sudest.net/2012/index.php?post/2016/01/07/un-mensonge-qui-arrange

principales sources :

site GIEC (rapports graphiques, résumé)https://www.ipcc.ch/report/ar5/syr/index_fr.shtml

 rapport complet: http://www.climatechange2013.org/images/report/WG1AR5_ALL_FINAL.pdf
(374 Mo-1552 pages)

 concernant le « hiatus », voir TS.3 page 61/62/63 Hiatus dans le rapport du GIEC

 « L’innocence du carbone, l’effet de serre remis en question » François Gervais (2013)

 « Climat et capitalisme vert » Philippe Pelletier (2015)

 Le réchauffement de la planète: une escroquerie (documentaire, chaîneplanet 2013)

 https://www.youtube.com/watch?v=zBLTDscToOo

 http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/l-envers-politique-du-changement-142243

 http://www.wikistrike.com/article-climategate-hackers-sceptiques-rapports-du-giec-comment-ca-marche-110980982.html

 L’effet de serre remis en question (2015) Conférence-débat avec François Gervais

 https://www.youtube.com/watch?v=6XDdfCLY3TI

 Les indicateurs du climat : http://www.pensee-unique.fr/indicateurs.html#temp

 http://www.contrepoints.org/2013/03/31/120065-climat-pourquoi-le-rechauffement-est-il-en-pause-depuis-20-ans

 Antarctique : http://www.nasa.gov/content/goddard/antarctic-sea-ice-reaches-new-record-maximum

 Arctique : https://sites.google.com/site/arctischepinguin/home/piomas

 Himalaya : http://www.nasa.gov/content/goddard/antarctic-sea-ice-reaches-new-record-maximum

 

 

 

 

Les écofascistes se nourrissent de rêves très coûteux...

(VA, 30/11/2015)

Michael Bloomberg, Anne Hidalgo avec Leonardo Di Caprio, Arnold Schwarzenegger et Robert Redford, acteurs de cinéma, une industrie très polluante qui (a) fait leur richesse. Ceci ne les dérange pas...

(Echo, 05/12/2015)

Le retour au bio avec le retour de la vermine...

(VA, 08/08/2016)

Nos centrales nucléaires

(Servais Pilate (Enghien), VA, 17/02/2016)

La mini-ministre bruxelloise, Céline Fremault, veut supprimer les pailles (pour boire) sans songer aux conséquences désastreuses pour certaines personnes handicapées...

(Linda Agnessen (Falisolle), in: VA, 12/03/2018)

L'agroécologie, terme bobo pompeux, pour désigner le fait d'avoir un jardin (potager)

(VA, 04/05/2018)

Dottignies - Un magasin vend des chaussures... véganes. (Comme le halal, le kasher...)

(VA, 18/11/2018)

Ecologisme et prolifération des rats

(VA, 08/12/2018)

Frédéric Leroy (VUB) : kritiek op de ecofascisten van EAT-Lancet Commission, die voor WBCSD werken (met PepsiCo, Unilever, ...)

(Knack, 16/11/2019)

La taxation du kérosène dans l'aviation

(C. M. (Bruxelles), in: DH, 24/01/2019)

Les élèves (et étudiants) pour le climat pêchent par ignorance.

(Claude B(rasseur) (Rochefort), in: DH, 24/01/2019)

Grégory Claeys (chercheur): "Presque toutes les msures climatiques auront un effet régressif."

(Echo, 24/01/2019)

Jean-Pascal Van Ypersele, climatologue à l'UCL, refuse de répondre à la demande des références d'un travail qui mesurerait le rôle thermique du CO2, et traite les opposants aux conclusions farfelues du GIEC de "grincheux".

(VA, 28/01/2019)

Jean-Pascal Van Ypersele (UCL) déraille

(C(laude) B(rasseur) (Rochefort) (mathématicien, spécialiste en physique appliquée), in: PAN, 01/02/2019)

"Fuck me, not the planet." "Destroy my pussy, not my Earth." "Fuck me, not the climate." (No comment !)

(De Morgen, 29/01/2019; VA, 01/02/2019)

Ecofascisme met Beyoncé en Jay-Z

(HLN, 01/02/2019)

De Nederlandse econoom Richard Tol over de CO2 en de spijbelaars

(HLN, 02/02/2019)

Des manifestants pour le climat en pleine contradiction avec eux-mêmes...

(M(ia) V(ossen), in: PAN, 08/02/2019)

"Le modèle écolo repose sur un mythe."

(Corentin de Salle, in: Echo, 12/02/2019)

La pollution digitale, habilement laissée de côté par les écofascistes

(Lore Thouvenin, in: Echo, 15/02/2019)

Relativisons le réchauffement climatique.

(Louis-Marie Renard (Hivese), in: VA, 19/02/2019)

Umweltprobleme mit den E-Autos (Problèmes environnementaux avec les voitures électriques)

(PM, 3/2019, S.54-55; 57-59; 62)

2019

Greta Thunberg s’attire les foudres de l’entreprise allemande des chemins de fer avec un tweet, DH, 15/12/2019

 

AFP

La jeune militante écologiste suédoise Greta Thunberg a déclenché l’ire des chemins de fer allemands Deutsche Bahn après avoir twitté qu’elle avait été forcée de voyager par terre dans un train bondé à son retour de la COP25 en Espagne. 

 

Thunberg, 16 ans – qui compte 3,6 millions d’abonnés sur son compte Twitter – avait diffusé sa photo la montrant assise par terre dans un train, entourée de ses valises, ajoutant qu’elle traversait l’Allemagne dans des trains bondés.

La compagnie ferroviaire Deutsche Bahn a repliqué dimanche, également sur Twitter, qu’elle voyageait en première classe.

« Chère Greta, merci pour votre soutien aux employés des chemins de fer dans notre combat contre le changement climatique. Nous sommes contents que vous ayiez voyagé sur le ICE 174 (train à grande vitesse) samedi, » a twitté la compagnie allemande. « Il aurait été plus gentil si vous aviez également fait mention de la façon aimable et compétente dont vous avez été traitée par notre personnel en première classe, » affirme le tweet qui a été suivi d’un communiqué.

Deutsche Bahn n’a toutefois pas démenti que la jeune fille n’avait pas trouvé de siège avant Francfort, à mi-chemin de son voyage entre Bâle et Hambourg.

Greta Thunberg a répondu, par Twitter interposé, que son train depuis Bâle avait été annulé et que ses amis et elle-même avaient dû s’asseoir par terre dans deux trains avant de trouver une place en première classe à partir de Goettingen.

« Bien sûr ce n’est pas un problème et je n’ai jamais prétendu que c’en était un. Des trains bondés sont un bon signe parce qu’ils montrent que la demande pour les voyages en train est élevée », a-t-elle ajouté.

Greta Thunberg, qui refuse de voyager en avion pour limiter son empreinte carbone, avait été critiquée la semaine dernière par le président américain Donald Trump qui, toujours sur Twitter, avait ironisé sur son indignation écologique en affirmant qu’elle devrait « apprendre à gérer sa colère ».

 

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