Commerce d’armes
1981 |
La France reste le troisième marchand d’ armes du monde, VA 17/02/1981
« »Le Monde » affirma que les exportations d’ armes françaises se sont élevées à 30 milliards de FF en 1984. Comme ce montant excède celui des exportations de produits alimentaires, c’ ‘st la première fois que l’ armement constitue la principale source de devises de l’ hexagone. »
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1989 |
LYBIE
Des Mirage pour la Lybie?, LB 09/01/1989
« Le gouvernement français négocie un accord secret pour vendre à la Lybie des Mirage 2000 », a affirmé ‘de source sûre’ dimanche le « Sunday Telegraph » (GB). »
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1990s |
« Ernest » <leucoplast@seanet.NOSPAM.com> a écrit dans le message de news:6KydnVzPKNzHyt3fRVn-1Q@comcast.com…
> -« The European Union may have to delay lifting its arms embargo on China,
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1995 |
Die grössten Waffenexporteure Handel mit konventionellen Grosswaffen 1995 in Mio. US-Dollar
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USA |
9.894 |
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Russland |
3.905 |
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Deutschland |
1.964 |
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Grossbritannien |
1.663 |
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China |
868 |
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Frankreich |
815
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1999 |
BRESIL / La grogne militaire prend de l’ampleur, LB 30/12/1999
Un groupe de hauts gradés de l’armée de l’air à la retraite a publiquement critiqué le gouvernement du président Cardoso mardi, allant jusqu’à qualifier le chef de l’Etat d’“illégitime” et de réclamer sa destitution. Cet accès de fièvre survient après le limogeage du commandant de l’armée de l’air. Comme une partie de l’armée, celui-ci contestait notamment la privatisation des 190 aéroports et la vente à des entreprises françaises de 20 pc des actions de la société aéronautique Embraer, qu’ils jugent préjudiciable à la sécurité nationale.
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Energie
/Affaire ELF/, LB 19/05/2001
Dans des entretiens aux Figaro et au Monde, M. Le Floch-Prigent, ancien PDG d’Elf, a déclaré que tous les présidents français (Chirac, Mitterrand) étaient au courant des commissions occultes versées, pendant des années, pour l’obtention de contrats par le groupe pétrolier Elf. .
secteur nucléaire / les déboires de l'EPR
(Echo, 22/03/2016)
Secteur financier
1991 |
Gilles Guillot, La CEE enquête sur le cas Bull, LB 11/07/1991
« La Commission va passer au crible le projet d’aide /6,6.000.000.000 FF/ de l’état français à Bull. » /conforme aux règles communautaires/
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2003 |
Assurances / Un guêpier nommé Executive Life, LS 21/10/2003
La justice américaine enquête sur le rachat, qu’elle soupçonne d’être frauduleux, de l’assureur Executive Life. Les plaintes se chiffrent en milliards de dollars et parmi les accusés, on trouve Jean Peyrelevade et François Pinault, deux proches du président Jacques Chirac.
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2008 |
FINANCIER / Frankrijk door Brussel op de vingers getikt voor begroting, DS 29/05/2008
BRUSSEL | Net voor hij voorzitter wordt van de Europese Unie heeft de Franse président, Nicolas Sarkozy, van de Europese Commissie een lelijke tik op de vingers gekregen. Brussel stuu-de Parijs een ‘aanbeveling’ om ‘tegelijk’ met de hervormingen toch door te gaan met de sanering van de overheidsfinanciën. Het Franse overheidstekort dreigt volgens de Commissie immers het plafond van 3% van het bbp te halen of te doorbreken. Bovendien stijgt de overheidsschuld. De aanbeveling is gebaseerd op het nieuwe stabiliteitspact van 2005. Dat geeft de Commissie meer mogelijkheden om preventief te werken. Het is de eerste aanbeveling die de Commissie uitstuurt. (bb)
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2008 |
FINANCIER / Frankrijk door Brussel op de vingers getikt voor begroting, DS 29/05/08
BRUSSEL | Net voor hij voorzitter wordt van de Europese Unie heeft de Franse président, Nicolas Sarkozy, van de Europese Commissie een lelijke tik op de vingers gekregen. Brussel stuur-de Parijs een ‘aanbeveling’ om ‘te-gelijk’ met de hervormingen toch door te gaan met de sanering van de overheidsfinanciën. Het Franse overheidstekort dreigt volgens de Commissie immers het plafond van 3% van het bbp te halen of te doorbreken. Bovendien stijgt de overheidsschuld. De aanbeveling is gebaseerd op het nieu-we stabiliteitspact van 2005. Dat geeft de Commissie meer mogelijkheden om preventief te wer-ken. Het is de eerste aanbeveling die de Commissie uitstuurt. (bb)
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2008 |
About the Euro Club, in : The Economist 26/04/2008, p.46
Good and bad members
There is another big problem with this game: the behaviour of old eu members. Mr Rehn notes that, if one took the worst features of every old eu country, one could easily come up with an amalgam that would barely meet any of the criteria for eu membership. To take just one example often cited by new members, Italy can hardly claim to be free of organised crime. Perhaps the most telling case of one rule for new members and another for old ones has come with the single currency, the euro. The commission and the European Central Bank insist that they must be rigid in applying to new eu members the « Maastricht criteria » before they can join the euro. Lithuania was rejected in 2006 because ils inflation rate was just 0.1% over the prescribed minimum. Slovakia, which hopes to get into the euro next January, is being subjected to similarly fierce checks. Yet the rules were openly bent to admit Belgium and Italy in 1999. Greece, which adopted the euro in 2001, subsequently admitted that it had done so with made-up budgetary figures. Several countries that had struggled to cut public borrowing to qualify for the euro stopped their fiscal reforms the moment they were let in. And when the two biggest, France and Germany, fell out of the stability pact ceilings on budget deficits in 2003 and 2004, they responded not by doing their utmost to get back in line but by tearing up the pact itself. Nobody dared to suggest that they should be subjected to the enormous fines specified in the pact for persistent offenders.
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2008 |
Les gouverneurs francophones réunis, LW 31/05/2008
Une trentaine de délégations à Echternach A l’invitation de Monsieur Yves Mersch, Président de la Banque centrale du Luxembourg, les gouverneurs des banques centrales des pays membres à part entière de l’Organisation Internationale de la Francophonie ont tenu leur 15e réunion les 28 et 29 mai 2008 à Echternach. Les gouverneurs des banques centrales de la communauté francophone se réunissent une fois par an pour examiner et échanger leurs vues sur des questions d’intérêt commun. Une trentaine de délégations provenant d’Afrique, d’Amérique du Nord, d’Asie, des Caraïbes, d’Europe, du Moyen Orient et du Pacifique ont participé à la réunion. Monsieur Jean-Claude Trichet, Président de la Banque centrale européenne et initiateur des réunions des banques centrales de la francophonie en sa qualité d’ancien Gouverneur de la Banque de France et Monsieur Christian Noyer, Gouverneur de la Banque de France, ont introduit les débats. La réunion de 2008 a été consacrée au sujet de la gouvernance. Les sujets d’actualité tels que la gestion des risques, la fonction d’audit interne, les notions de conformité et d’éthique au sein d’une banque centrale, ainsi que la planification de plans de continuité ont fait l’objet de quatre séances de travail. Les gouverneurs et autres responsables de délégation ont été reçus en audience par le Grand-Duc Henri. (C.)
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Loisirs
L’affaire UNIBET
Olivier Le Bussy Jeux de hasard – l’affaire unibet / Une arrestation qui embarrasse Paris, LB 30/10/07
» Accusé d’avoir violé le monopole de la Française des jeux sur les paris, le PDG du groupe Unibet sera extradé. Un monopole contesté par la Commission européenne.
Arrêté et mis en garde à vue la semaine dernière aux Pays-Bas, le PDG de la firme suédoise de paris en ligne Unibet Petter Nylander devrait être extradé mercredi vers la France, qui avait lancé en juin dernier un mandat d’arrêt européen à son encontre.
Le crime dont la justice hexagonale accuse le Suédois ? Avoir organisé illicitement des jeux de hasard et violé de facto le monopole dont jouissent dans ce domaine la Française des Jeux (FDJ) et le Groupement d’intérêt économique Pari Mutuel Urbain (PMU) sur le territoire français.
Deux plaintes, déposées en 2002 par la FDJ et en 2003 par le PMU contre la société Mr Bookmaker – dont les activités ont été reprises par Unibet – sont à l’origine de l’instruction lancée contre M. Nylander. Cotée à la Bourse de Stockholm et propriétaire de l’équipe cycliste Unibet (rebaptisée Canyon.com en France et en Belgique, où son logo est interdit), la société suédoise possède des licences de jeu au Royaume-Uni, à Malte et en Italie. A partir de ces pays, la société propose des paris par Internet sur les courses hippiques françaises, les compétitions sportives et la loterie, droit que lui contestent la FDJ et le PMU.
Pour ces raisons, le parquet de Nanterre avait mis en examen l’ancien vice-président d’Unibet Didier Dewyn en avril dernier. Egalement convoqué en banlieue parisienne, Petter Nylander avait décliné l’invitation, ce qui
avait conduit la justice française à lancer un mandat européen contre lui. Six mois plus tard, le patron d’Unibet a été arrêté mardi dernier à l’aéroport de Schiphol, à Amsterdam, alors qu’il s’apprêtait à s’envoler pour la Grande-Bretagne.
Coïncidence malheureuse
Le moment auquel survient cette arrestation embarrasse les autorités françaises, alors même que Paris est en pourparlers depuis plusieurs mois avec la Commission européenne sur le dossier des jeux de hasard. L’exécutif .européen insiste pour que la France ouvre son marché sur les jeux d’argent et assouplisse les monopoles du PMU et de la FDJ. Monopoles qui, selon la Commission, contreviennent à la législation européenne sur la libre concurrence. Sous le coup d’une pro-
cédure d’infraction qui pourrait la conduire devant la Cour européenne de justice, la France est priée de fournir à Bruxelles une réponse satisfaisante à ce problème à la fin du mois.
A l’aune de cette situation, la Commission européenne a vertement critiqué la mise en garde à vue de Petter Nylander. « Quelqu’un a été arrêté alors qu’il pourrait très bien être innocent selon le droit européen », a réagi la semaine dernière Oliver Drewes, le porte-parole du commissaire au Marché intérieur, Charlie Mc-Creevy.
La marge de manœuvre de la justice française pour agir contre M. Nylander est de toute façon extrêmement ténue. L’arrêt « Placanica » rendu en mars dernier par la Cour de justice des Communautés européennes a porté un nouveau coup à la politique de monopole dans le secteur des jeux en interdisant à un Etat membre de prendre des sanctions pénales contre un collecteur de paris basé à l’étranger. Et le 11 juillet, la décision de la Cour de cassation française d’annuler la condamnation de la société maltaise de paris en ligne sur des courses hippiques Zeturf fait jurisprudence.
Quoi qu’il arrive à son PDG, Unibet a déjà indiqué qu’elle n’avait aucune intention d’abandonner le marché français. « Nous ne cesserons pas », a déclaré Petter Nylander à la presse néerlandaise. « Nous ne faisons rien d’illégal, car nous avons une licence pour la Grande-Bretagne. Selon les règlements européens, si vous avez une licence dans un pays membre, vous êtes autorisé à l’utiliser dans d’autres pays ».