Commerce d’armes

1981

La France reste le troisième marchand d’ armes du monde, VA 17/02/1981

 

«  »Le Monde » affirma que les exportations d’ armes françaises se sont élevées à 30 milliards de FF en 1984.  Comme ce montant excède celui des exportations de produits alimentaires, c’ ‘st la première fois que l’ armement constitue la principale source de devises de l’ hexagone. »

 

1989

LYBIE

 

Des Mirage pour la Lybie?, LB 09/01/1989

 

« Le gouvernement français négocie un accord secret pour vendre à la Lybie des Mirage 2000 », a affirmé ‘de source sûre’ dimanche le « Sunday Telegraph » (GB). »

 

1990s

« Ernest » <leucoplast@seanet.NOSPAM.com> a écrit dans le message de news:6KydnVzPKNzHyt3fRVn-1Q@comcast.com

 

> -« The European Union may have to delay lifting its arms embargo on China,
> – British officials said on Tuesday. »
>
> No doubt the French are absolutely furious that the British are trying to
> prevent them from selling US military technology to China.
> -« The arms ban, imposed after the 1989 Tiananmen massacre, was widely  expected to be lifted later this year. »
> > The French are no longer bothered by human-rights issues though, as Chirac has made clear time and time again. He tried to protect and support Saddam, he protects the brutal Arab government in the Sudan, and now he wants to help the Chinese government build a modern army so that it can act as a « counter-balance » to the US -and he wants to make a few Euros in the process.
>  -« France and Germany are keen to lift the embargo and replace it with a  strengthened code of conduct on all EU arms sales. »
> Translation: France wants to impose a « strengthened » code of conduct to prevent other European countries from selling arms to China, while the French make secret deals with the Chinese -much as they made secret deals
> with Saddam during the UN sanctions on Iraq and especially during the oil-for-food program.
> http://news.bbc.co.uk/1/hi/world/asia-pacific/4371361.stm

 

1995

Die grössten Waffenexporteure

Handel mit konventionellen Grosswaffen 1995 in Mio. US-Dollar

 

 

USA

9.894

 

Russland

3.905

 

Deutschland

1.964

 

Grossbritannien

1.663

 

China

868

 

Frankreich

815

 

1999

BRESIL / La grogne militaire prend de l’ampleur, LB 30/12/1999

 

Un groupe de hauts gradés de l’armée de l’air à la retraite a publiquement critiqué le gouvernement du président Cardoso mardi, allant jusqu’à qualifier le chef de l’Etat d’“illégitime” et de réclamer sa destitution.

Cet accès de fièvre survient après le limogeage du commandant de l’armée de l’air.  Comme une partie de l’armée, celui-ci contestait notamment la privatisation des 190 aéroports et la vente à des entreprises françaises de 20 pc des actions de la société aéronautique Embraer, qu’ils jugent préjudiciable à la sécurité nationale.

 

Energie

/Affaire ELF/, LB 19/05/2001

 

Dans des entretiens aux Figaro et au Monde, M. Le Floch-Prigent, ancien PDG d’Elf, a déclaré que tous les présidents français (Chirac, Mitterrand) étaient au courant des commissions occultes versées, pendant des années, pour l’obtention de contrats par le groupe pétrolier Elf. .

secteur nucléaire / les déboires de l'EPR

(Echo, 22/03/2016)

Secteur financier

1991

Gilles Guillot, La CEE enquête sur le cas Bull, LB 11/07/1991

 

« La Commission va passer au crible le projet d’aide /6,6.000.000.000 FF/ de l’état français à Bull. » /conforme aux règles communautaires/

 

2003

Assurances / Un guêpier nommé Executive Life, LS 21/10/2003

 

La justice américaine enquête sur le rachat, qu’elle soupçonne d’être frauduleux, de l’assureur Executive Life. Les plaintes se chiffrent en milliards de dollars et parmi les accusés, on trouve Jean Peyrelevade et François Pinault, deux proches du président Jacques Chirac.

 

2008

FINANCIER / Frankrijk door Brussel op de vingers getikt voor begroting, DS 29/05/2008

 

BRUSSEL | Net voor hij voorzitter wordt van de Europese Unie heeft de Franse président, Nico­las Sarkozy, van de Europese Commissie een lelijke tik op de vingers gekregen. Brussel stuu-de Parijs een ‘aanbeveling’ om ‘tegelijk’ met de hervormingen toch door te gaan met de sanering van de overheidsfinanciën. Het Fran­se overheidstekort dreigt volgens de Commissie immers het pla­fond van 3% van het bbp te halen of te doorbreken. Bovendien stijgt de overheidsschuld. De aan­beveling is gebaseerd op het nieuwe stabiliteitspact van 2005. Dat geeft de Commissie meer mogelijkheden om preventief te werken. Het is de eerste aanbeveling die de Commissie uitstuurt. (bb)

 

2008

FINANCIER / Frankrijk door Brussel op de vingers getikt voor begroting, DS 29/05/08

 

BRUSSEL | Net voor hij voorzitter wordt van de Europese Unie heeft de Franse président, Nico­las Sarkozy, van de Europese Commissie een lelijke tik op de vingers gekregen. Brussel stuur-de Parijs een ‘aanbeveling’ om ‘te-gelijk’ met de hervormingen toch door te gaan met de sanering van de overheidsfinanciën. Het Fran­se overheidstekort dreigt volgens de Commissie immers het pla­fond van 3% van het bbp te halen of te doorbreken. Bovendien stijgt de overheidsschuld. De aan­beveling is gebaseerd op het nieu-we stabiliteitspact van 2005. Dat geeft de Commissie meer mogelijkheden om preventief te wer-ken. Het is de eerste aanbeveling die de Commissie uitstuurt. (bb)

 

2008

About the Euro Club, in : The Economist 26/04/2008, p.46

 

Good and bad members

 

There is another big problem with this game: the behaviour of old eu members. Mr Rehn notes that, if one took the worst features of every old eu country, one could easily come up with an amalgam that would barely meet any of the criteria for eu membership. To take just one example often cited by new members, Italy can hardly claim to be free of organised crime.

Perhaps the most telling case of one rule for new members and another for old ones has come with the single currency, the euro. The commission and the European Central Bank insist that they must be rigid in applying to new eu members the « Maas­tricht criteria » before they can join the euro. Lithuania was rejected in 2006 because ils inflation rate was just 0.1% over the prescribed minimum. Slovakia, which hopes to get into the euro next January, is being subjected to similarly fierce checks.

Yet the rules were openly bent to admit Belgium and Italy in 1999. Greece, which adopted the euro in 2001, subsequently admitted that it had done so with made-up budgetary figures. Several countries that had struggled to cut public borrowing to qualify for the euro stopped their fiscal reforms the moment they were let in. And when the two biggest, France and Germany, fell out of the stability pact ceilings on budget deficits in 2003 and 2004, they responded not by doing their utmost to get back in line but by tearing up the pact itself. Nobody dared to suggest that they should be subjected to the enormous fines specified in the pact for persistent offenders.

 

2008

Les gouverneurs francophones réunis, LW 31/05/2008

 

Une trentaine de délégations à Echternach

A l’invitation de Monsieur Yves Mersch, Président de la Banque centrale du Luxembourg, les gou­verneurs des banques centrales des pays membres à part entière de l’Organisation Internationale de la Francophonie ont tenu leur 15e réunion les 28 et 29 mai 2008 à Echternach.

Les gouverneurs des banques centrales de la communauté fran­cophone se réunissent une fois par an pour examiner et échanger leurs vues sur des questions d’in­térêt commun. Une trentaine de délégations provenant d’Afrique, d’Amérique du Nord, d’Asie, des Caraïbes, d’Europe, du Moyen Orient et du Pacifique ont parti­cipé à la réunion. Monsieur Jean-Claude Trichet, Président de la Banque centrale européenne et initiateur des réunions des ban­ques centrales de la francophonie en sa qualité d’ancien Gouverneur de la Banque de France et Mon­sieur Christian Noyer, Gouver­neur de la Banque de France, ont introduit les débats.

La réunion de 2008 a été consa­crée au sujet de la gouvernance. Les sujets d’actualité tels que la gestion des risques, la fonction d’audit interne, les notions de conformité et d’éthique au sein d’une banque centrale, ainsi que la planification de plans de conti­nuité ont fait l’objet de quatre séances de travail. Les gouver­neurs et autres responsables de délégation ont été reçus en audi­ence par le Grand-Duc Henri. (C.)

 

Loisirs

L’affaire UNIBET

Olivier Le Bussy Jeux de hasard – l’affaire unibet / Une arrestation qui embarrasse Paris, LB 30/10/07

 

» Accusé d’avoir violé le monopole de la Française des jeux sur les paris, le PDG du groupe Unibet sera extradé. Un monopole contesté par la Commission européenne.

Arrêté et mis en garde à vue la semaine dernière aux Pays-Bas, le PDG de la firme suédoise de paris en ligne Unibet Petter Nylander devrait être extradé mer­credi vers la France, qui avait lancé en juin dernier un mandat d’arrêt européen à son encontre.

Le crime dont la justice hexa­gonale accuse le Suédois ? Avoir organisé illicitement des jeux de hasard et violé de facto le mono­pole dont jouissent dans ce do­maine la Française des Jeux (FDJ) et le Groupement d’intérêt économique Pari Mutuel Urbain (PMU) sur le territoire français.

Deux plaintes, déposées en 2002 par la FDJ et en 2003 par le PMU contre la société Mr Book­maker – dont les activités ont été reprises par Unibet – sont à l’ori­gine de l’instruction lancée con­tre M. Nylander. Cotée à la Bourse de Stockholm et proprié­taire de l’équipe cycliste Unibet (rebaptisée Canyon.com en France et en Belgique, où son logo est interdit), la société suédoise possède des licences de jeu au Royaume-Uni, à Malte et en Ita­lie. A partir de ces pays, la société propose des paris par Internet sur les courses hippiques françai­ses, les compétitions sportives et la loterie, droit que lui contestent la FDJ et le PMU.

Pour ces raisons, le parquet de Nanterre avait mis en examen l’ancien vice-président d’Unibet Didier Dewyn en avril dernier. Egalement convoqué en banlieue parisienne, Petter Nylander avait décliné l’invitation, ce qui

avait conduit la justice française à lancer un mandat européen contre lui. Six mois plus tard, le patron d’Unibet a été arrêté mardi dernier à l’aéroport de Schiphol, à Amsterdam, alors qu’il s’apprêtait à s’envoler pour la Grande-Bretagne.

 

Coïncidence malheureuse

 

Le moment auquel survient cette arrestation embarrasse les autorités françaises, alors même que Paris est en pourparlers de­puis plusieurs mois avec la Com­mission européenne sur le dos­sier des jeux de hasard. L’exécutif .européen insiste pour que la France ouvre son marché sur les jeux d’argent et assouplisse les monopoles du PMU et de la FDJ. Monopoles qui, selon la Commis­sion, contreviennent à la législa­tion européenne sur la libre con­currence. Sous le coup d’une pro-

cédure d’infraction qui pourrait la conduire devant la Cour euro­péenne de justice, la France est priée de fournir à Bruxelles une réponse satisfaisante à ce pro­blème à la fin du mois.

A l’aune de cette situation, la Commission européenne a verte­ment critiqué la mise en garde à vue de Petter Nylander. « Quel­qu’un a été arrêté alors qu’il pour­rait très bien être innocent selon le droit européen », a réagi la se­maine dernière Oliver Drewes, le porte-parole du commissaire au Marché intérieur, Charlie Mc-Creevy.

La marge de manœuvre de la justice française pour agir contre M. Nylander est de toute façon extrêmement ténue. L’arrêt « Placanica » rendu en mars dernier par la Cour de justice des Com­munautés européennes a porté un nouveau coup à la politique de monopole dans le secteur des jeux en interdisant à un Etat membre de prendre des sanc­tions pénales contre un collecteur de paris basé à l’étranger. Et le 11 juillet, la décision de la Cour de cassation française d’annuler la condamnation de la société maltaise de paris en ligne sur des courses hippiques Zeturf fait ju­risprudence.

Quoi qu’il arrive à son PDG, Unibet a déjà indiqué qu’elle n’avait aucune intention d’aban­donner le marché français. « Nous ne cesserons pas », a déclaré Pet­ter Nylander à la presse néerlan­daise. « Nous ne faisons rien d’illé­gal, car nous avons une licence pour la Grande-Bretagne. Selon les règlements européens, si vous avez une licence dans un pays membre, vous êtes autorisé à l’uti­liser dans d’autres pays ».

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